H...yperréactivité nasale (ou non)
En Panodyssey, puedes leer hasta 10 publicaciones al mes sin iniciar sesión. Disfruta de 9 articles más para descubrir este mes.
Para obtener acceso ilimitado, inicia sesión o crea una cuenta haciendo clic a continuación, ¡es gratis!
Inicar sesión
H...yperréactivité nasale (ou non)
C’est le nez allergique… aux allergènes qui nous entourent quand cette hyperéactivité est spécifique ou le nez réactif à un ensemble de facteurs extrinsèques, pas nécessairement des allergènes vrais, mais un simple changement de température (passage d’une pièce à l’autre ou de dedans en dehors), passage de la position couchée à debout… Le traitement reste cependant similaire et repose, entre autres, sur un traitement antihistaminique (antiallergique).
Un français sur deux de nos jours est ou sera allergique !
Contrecoup, dit-on, de notre société moderne, aseptisée, étalonnée, contrôlée, ce qui nous vaut, nous assure-t-on, de vivre trois mois de plus tous les ans ! Le prix à payer en quelque sorte.
Ça … et les progrès de la médecine bien sûr !
On peut donc bien accepter ces désagréments mineurs puisque le jeu en vaut la chandelle.
Pas sûr que le calcul soit correct.
Ceux qui gagnent trois mois tous les ans sont ceux qui décèdent maintenant.
De là à extrapoler à la génération qui sera vieille dans soixante ans ou plus et qui aura subi, sa vie durant, les manipulations génétiques, les traitements préventifs des sols pour les cultures, dans cette société où même les graines, les semences ne peuvent être repiquées, nécessitant de passer par les grands trusts seuls autorisés à vendre ces semences…
Aux États-Unis déjà, c’en est fini des 3 mois gagnés tous les ans.
Heureusement il reste en France des irréductibles Gaulois qui résistent encore et toujours à ces envahisseurs.
Doit-on appliquer à la lettre des décisions « quelconquement cons » comme aurait dit Nicolas Fargues ?
Déjà des viticulteurs remarquent que leur sol s’appauvrit avec les pratiques de l’agriculture moderne et l’usage intensif, souvent préventif, des pesticides, imposé par l’administration. Les rendements sont moindres, les sols sont tassés et l’eau ne pénètre plus dans ces terres causant çà et là des inondations.
Mais on n’aime pas ces originaux qui s’arque boutent contre les décisions administratives et décident de ne pas traiter leur vigne avec des insecticides toxiques. Et même si le tribunal de Dijon se penche (avec indulgence) sur le cas d’un viticulteur récalcitrant, cela n’empêche pas que de proche en proche les vignerons bourguignons en fassent de même et se révoltent contre ces décisions administratives.
Le cheval réapparaît dans les domaines prestigieux, le désherbant Monsanto est abandonné, il lui est préféré les décoctions d’orties, de camomille et d’achillée… Le sol entre les ceps se recouvre d’herbes folles qui aèrent la terre…
Le réchauffement climatique a bon dos quand on l’accuse d’être responsable de cette sécheresse et de ces sols où l’eau ne pénètre plus!
On pourra chercher en vain dans Cyrano de Bergerac et sa tirade du nez - pas moins de 42 vers - la moindre allusion à ces nez allergiques !
Le seul écoulement décrit, outre l’épistaxis, tient en ces lignes :
Emphatique : « aucun vent ne peut, nez magistral,
T’enrhumer tout entier, excepté le mistral !
Les nez « déglingués » n’existaient pas en ce temps-là, pourtant pas si éloigné de nous !
Ou sinon…
Nul doute qu’après Honoré de Balzac et Daumier, Edmond Rostand l’eut rajouté à sa tirade s’il en avait eu « vent » ! (cf goutte au nez)
Jean-Jacques Hubinois hace 2 años
Hélas, j’ai une fois de pls oublié et impossible de corriger après!
William Gosset hace 2 años
Bonjour Jean-Jacques,
Je voulais vous suggérer d'ajouter des tags sans # à la fin de votre article, afin qu'il soit plus facile à retrouver pour vos lecteurs.
Je vous remercie.