

Comment les institutions européennes assassinent-elles les lanceurs d'alerte ? (Quatrième partie)
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Comment les institutions européennes assassinent-elles les lanceurs d'alerte ? (Quatrième partie)
En août 2014, Roelie Post avait dû revenir à la Commission Européenne lorsque son détachement s’était terminé. Elle se souvient “avoir horriblement été traitée. Pas de métier réel, les intimidations recommençaient. J’ai écrit plusieurs fois à Catherine Day. J’étais en maladie plusieurs mois. Puis j’ai arrêté de m’enregistrer car j’étais malade et je leur avais demander de s’occuper de la problématique du harcèlement et de tout ce qui s’était passé. Alors ils ont arrêté de me payer. Je recevais des lettres de soutien de citoyens et retrouvais alors mon salaire. Mais ces mesures se sont répétées jusqu’à ce que je sois licenciée en 2018 au milieu de procédures disciplinaires, le médiateur européen et les eurodéputés néerlandais réclamant des comptes. Je suis toujours entrain d’évacuer tout cela… »
Alors que la Commission Européenne a nié toute ‘problématique’ quant au lancement d’alerte de Madame Post, elle considéra ses absences injustifiées. « Ils ont utilisé ça comme outil de pression pour me forcer en invalidité sur des fondements psychiatriques. J’ai refusé. En 2017, mon salaire à plein temps a été stoppé et ils m’ont demandé 85.000 Euros considérant que mes absences étaient injustifiées”. C’est seulement après l’intervention d’un Eurodéputé néerlandais et plus tard la requête du Parlementaire néerlandais Pieter Omtzigt que la Commission Européenne mit Madame Post de force en retraite anticipée. “Ils n’ont pas reconnu que j’étais une lanceuse d’alerte et maintenant ils prélèvent ma pension mensuelle d’un tiers pour payer mes ‘dettes’ - c’est-à-dire les 85.000euros”.
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Madame Post répète que la Commission Européenne fait de son mieux pour nier tout ce qui s’est passé et essaie de rendre illisible le fait que l’institution est devenue une partie du lobby de l’adoption : “Comme ce sont des bureaucrates, ils appliquent des procédures. C’est comme cela qu’ils ont tué ma vie professionnelle et même mis ma vie en danger : pendant deux années, ils ont supprimé mon salaire à plein temps et ont demandé un paiement immédiat de mes ‘dettes’, qu’un Eurodéputé a pu stopper en sauvant littéralement ma maison. A la fin, quand les choses sont devenues très compliquées aux Pays-Bas, ils m’ont mise en pré-retraite rétro-active. Dix mois rétroactifs, cela signifie jusqu’au jour où ils m’ont licenciée. Ils pré
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