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#Childrenloveletter : Sagesses Vivantes de la Vieille Marraine Salothe

#Childrenloveletter : Sagesses Vivantes de la Vieille Marraine Salothe

Publicado el 23, mar., 2024 Actualizado 23, mar., 2024 Poetry and Songs
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#Childrenloveletter : Sagesses Vivantes de la Vieille Marraine Salothe

A Mathilde et tous les jeunes adolescents qui répondront à l’appel de la dignité. #childrenloveletter

L’eau et le feu s’enlacent et se prélassent pour que seul Samuel Colt ait la prétention dans l’Histoire, de rendre les humains égaux. La plus grande fidélité s’apparente au comportement d’un chien pour l’humain plein de jugements de valeurs, alors que son plus parfait synonyme est simplement Foi.

Au soleil rayonnant, Mathilde a treize ans, adolescente singulière du vingt-et-unième siècle, descendante d’un peuple sacré par la langue de feu, elle entame une existence paisible et sans nuage dans un univers au sein duquel le feu n’est déjà plus ce que l’on imagine. Dès lors que sa vieille marraine Salothe lui fit découvrir les mystères et secrets du feu de l’Esprit pour émerveiller le quotidien à travers l’espace et le temps par ses connaissances antiques des mystères de l’Indus.

Saura-t-elle se libérer du feu qui l’habite sans y laisser les plumes de ses ailes d’ange et calmer la fournaise ? Pourra-t-elle se protéger ainsi que les siens du feu des armes qui les menace ? Levant les yeux au ciel pour inspirer son répondant caractéristique d’une enfant des étoiles.

Ta foi te dicte de te taire et de souffler.

Silence !

Ecoute !

Tu es sage et obéis, ou bien, gare à toi Salothe ! Tiens ta langue ! Ou le bienheureux qui s’ignore te sommera de sucer ! Tel un ordre de survie mutuel d’un Pompée jouisseur et d’une Salothe assumée. Des jardiniers de haut vol ! Laboureurs à leurs heures perdues qui utilisent leurs mains à des flux de tendresse infinis.

Ces deux-là nous étonnent à chaque entrée en scène. Malgré de nombreux satellites extrêmement encombrants, tel un véritable système solaire en pleine révolution. Ils ne résistent pas à ce reflexe nourrisson menant à l’extase créatrice et développementale d’un univers trinitaire, d’une neuvième symphonie planétaire, du jardin d’Eden menant au sixième et dernier étage. Le nirvana selon eux ! Entourés de bleus.

La vie leur donne parfois la sagesse d’atteindre le neuvième ciel dans le noir. Celui où le cosmos entre en communion avec l’univers. Où Pierre et Marie Curie découvrent l’uranium. Où Dieu existe en délivrant l’énergie d’une conscience infinie où plus rien n’a de pouvoir, où la politique abat les cartes, où les pyramides n’ont point de secret, où le taxi fonce dans l’étoile pour tourner autour de l’arc de Triomphe, prenant la voix de la destinée par la rue Galilée et la puissance du feu de l’Esprit dès lors qu’il aura choisi de bénéficier de sa priorité à droite sur l’avenue des Champs-Elysées.

La plus belle Avenue du monde, considèrent les touristes amoureux de lumières artificielles. Devons-nous cesser d’aimer quand on cesse d’être amoureux ?

« Ability is nothing without opportunity », « La capacité n’est rien sans l’opportunité » citait le célèbre, glorieux et court sur pattes, Napoléon, stratège de guerre en pire, n’ayant de cesse de faire bâtir des mausolées monumentaux à chacune de ses victoires pour laisser une trace d’illusions indélébiles à l’histoire de l’Architecture et de la Guerre. Son code, toujours d’actualité, réduisant finalement les femmes à un état de minorité perpétuelle pour les protéger, bien qu’elles aient réussi à acquérir une certaine liberté pour au moins s’installer dans un bon appart’. Enfermé à Sainte Hélène pour imposture, narcissisme et affairisme, une seule vie ne suffirait pas à l’âme de cet homme difficilement gérable selon une Joséphine triomphante.

Pourquoi se haïr ? L’imaginaire est plus fort que la haine, le Merveilleux et la fantaisie se donnent la main. La chute de l’humanité a plongé la femme dans une sujétion humiliante à l’égard de l’homme, parce que l’homme lui-même avait commencé à s’assujettir aux maux. Pardonnons-nous à grande échelle !

La grandeur d’une mission n’est-elle pas avant tout de bâtir des ponts en unissant des hommes, des femmes, des enfants pour une cause commune incorruptible? L’orient et l’occident ne sont-ils point deux parties complémentaires et indispensables l’une à l’autre de la même sphère ?  Il n’est qu’un luxe véritable et c’est celui des relations humaines. Nos divisions, nos luttes, nos injures sont celles d’un même corps qui se contracte contre lui-même et se déchire dans le sang de l’enfantement. Hâtons-nous de donner avant de recevoir et de bâtir avant d’habiter. De fonder l’Amour pour les siens par le don du sang, comme la mère fonde le sien par le don du lait. Là, est le Mystère ? Commençons par sacrifier ce mystère par révélation pour fonder l’Amour et l’harmonie. Ne sommes-nous pas toutes et tous sacrés et légendaire à nos heures perdues ? Ayant passé le portail le plus sacré du monde pour venir expérimenter la vie terrestre. La femme, la mère, Miss Terre ! Pour commettre un adultère, il faut être adultes et préserver une insouciance enfantine en appréciant les madeleines. Jules Ferry a rendu les maîtresses gratuites et obligatoires. Ça n’est pas une raison pour en abuser dès l’enfance et les imposer au nom d’une responsabilité sociétale aliénée.

La vielle marraine Salothe, par l’Esprit digne sollicite de sacrifier le mystère et l’emploie à d’autres victoires multiples et collectives. Le bienheureux peut arrêter d’ignorer et de s’ignorer pour révéler et se révéler. Il doit toujours faire le premier pas, naître avant d’exister pour sucer la vie, embrasser les étoiles et regarder le soleil et la lune en face sans être arrosé par la masse aveugle d’une foi branlante qu’une seule goutte changerait en homme. Contrôler ses pulsions et respecter l’Autre, quelle qu’il ou qu’elle soit, petits et grands, noirs et blancs. La force d’un grand homme ne se mesure pas en centimètre, celle d’une femme non plus.

Petite Mathilde, la stabilité et la sécurité matérielle satisfont l’ego, notre mental pour survivre dans ce monde et demeurer autonomes. C’est de la survie et c’est à cela que sert l’égo. Il est la pièce maitresse qui sert à se défendre et défendre la liberté d’être qui nous sommes. Nous allons de pair avec l’homme par la complémentarité que nous lui apportons, et dont il ne peut se passer pour être tout lui-même, parfois équipé d’une longue vue et d’un sextant faute de mettre des coups de pieds dans une baballe.

L’égo a parfois besoin de se tapir dans un coin, se reposer et intervenir au cas où l’âme est en danger. Il intervient alors, comme un jaguar sortant de l’ombre pour sauver la dose minimum vitale à la survie : la dignité ! Il donne la force d’aimer au point de trouver la puissance qui aimante. Pour être aimés, il faut être aimables.

Dignité d’une jeune fille, d’une mère, d’une sœur, d’une amie, d’une femme. C’est ainsi que nous pouvons sauver notre âme en tant qu’espèce humaine et divine pour ceux qui croient au Sacré.

Rien n’empêche de vivre librement, en paix, et dans la joie, car c’est cela la vraie stabilité d'un équilibre instable, la vraie sécurité, émotionnelles avant tout. Emotionnelle et non sexuée.

Nous avons toujours le choix de notre manière de réagir. Il n’y a plus de faute à rejeter, plus de peine, plus de voile. Prenons notre part, une bonne fois pour toute car les enfantillages ne sont plus tolérés désormais. On ne prend pas de grande décision simplement pour un instant de pur plaisir éphémère obligeant au silence prédateur du chat observateur.

Alors, anticipons, pesons nos mots et nos actes pour inviter la tolérance, l’auto-dérision et la légère pureté des intentions magnanimes pour un avenir serein et fondateur. En effet, dans tous les cas où l’homme est responsable de ce qui offense la dignité personnelle et la vocation de la femme, il agit contre sa propre dignité personnelle et contre sa vocation.

Au-delà de l’intention, il existe l’attention, permettant de créer un processus de cohérence dans la nature, qui réduit le hasard des choses en les dirigeant vers une évolution précise et ordonnée. L’érotisme est subtil, il se doit d’être sobre et prudent. A travers le temps et l’espace, les jeunes filles se parent et naïvement s’exhibent car on ne les prévient pas d’être Maîtres de Soi-même. On leur interdit souvent, on ne leur explique pas suffisamment les risques qu’elles encourent en se dévoilant. Parce que ces risques sont aussi, joies, plaisirs et bonheur de temps en temps. Maîtrise et prudence sont les deux compères précieux d’une femme au-delà de ses ombres pour que jamais personne n’ait la maussade intention de croire que le silence perdure après la mort.

La tendresse persiste et signe au-delà des frontières, elle nettoie sans limite les passés ignorants pour enfanter la vie et le don de soi.

Constatons combien l’eau du bassin est troublée après la fête. Ils ont dansé, ils ont travaillé, ils ont rencontré des gens, des individus, qui avaient comme on dit : leur caractère. Des personnes ou des personnalités ? Des personnages ?

Ils ont vécu pas mal d’histoires, je ne dis pas qu’ils étaient des hommes à femmes, ou des femmes à hommes, je fais allusion à d’autres aventures. Des explorateurs du subconscient, de l’inconscient, du plaisir de jouir de la vie. Certaines choses vont de paires comme : les lunettes, les seins, les jumelles, les jumeaux, les pantoufles, les couilles et les baffes. La capacité de jouissance étant la capacité d’un individu à avoir droit de jouir et d’être en joie.

Contrairement aux vraies rencontres, l’Art taupière stupéfie et selon la Merci à laquelle il a foi, parfois même statufie dans l’illusion de conférer un pouvoir.

Pourquoi le pied de la fontaine est-il ruisselant, brillant quand le jet d’eau est coupé ?

If, en anglais signifie, si. Si si ! Je suis sciée, pas vous ?

Un jour elle a noté que la taille signifiât à la fois l’ampleur et l’action de la limite au sein d’une amplitude irrationnelle. Elle a prêté l’oreille à la musique des formes, s’est mise au diapason et enfin, a entendu d’autres rythmes que celui de son sang rationné dans le livre d'une jungle immaculée.

On s’étire dans un jardin, berceau élargi pour réfléchir le monde. Réfléchir au monde, ou le rêver... le créer ! Pleurs du cèdre, crises de rire et polypes du buis. Il faut avoir l’impression d’aller quelque part. Du point U au point V, par exemple. Je suis modeste, j’aurai pu dire de A à Z en passant par la vitamine D. Vouloir ne pas être la même au départ qu’à l’arrivée. Mon ami définit ainsi la nouvelle, les obstacles feraient grandir le désir.

La dignité de la femme témoigne de l’amour qu’elle reçoit pour aimer à son tour en exerçant ses don nés.

Faut-il de tout pour faire un monde ? Le mal est-il nécessaire ? Partir en restant, devons-nous apprendre à voir les ruines plus belles que des palais ? Saurons-nous préserver la beauté du monde, régénérer et se régénérer ? Faire la différence entre une forêt et une forêt sans forer ? 

C’est le véritable ordre de l’amour qui définit la vocation de la femme elle-même. Il s’agit ici de la vocation dans le sens fondamental, voire universel, qui se réalise et s’exprime par les « vocations » multiples de la femme dans le monde. La force morale de la femme, sa force spirituelle, rejoint la conscience tel un système d’intégration du fait que l’homme lui est confié, l’être humain, d’une manière spécifique. Tout humain est confié naturellement à tous et à chacun pour aider et s’entraider. Toutefois cela concerne la femme d’une manière spécifique, précisément en raison de sa féminité, et cela détermine en particulier sa vocation. A partir de cette prise de conscience et de ce qui est confié, la force morale de la femme s’exprime à travers les très nombreuses figures féminines à toutes époques connues et inconnues, jusqu’à nos jours. Même dans des conditions de discriminations sociales, la femme porte un rôle fondateur dans le monde et dans la famille humaine.

Le pôle mâle et le pôle femelle ne peuvent créer l’un sans l’autre. Cela la rend « forte » et affermit sa vocation. Ainsi la femme vaillante devient un soutien irremplaçable et une source de force spirituelle pour l’Autre qui se rend compte de l’énergie considérable de son Esprit, tel une force vitale. A ces « femmes vaillantes » sont très redevables leurs familles et parfois des nations entières. A notre époque, les réussites de la Science et de la technique permettent d’arriver à un bien-être matériel d’un degré inconnu jusqu’alors, et cela, tandis que certains en sont favorisés, en conduit d’autres à la marginalisation. Dans ces conditions un tel progrès unilatéral peut entrainer aussi une disparition progressive de l’attention à l’homme, à ce qui est essentiellement humain.

En ce sens, surtout de nos jours, on compte sur la manifestation du « génie » de la femme pour affermir l’attention à l’homme en toute circonstance, du fait même qu’il est homme ! Maître de son énergie.

L’humour est, rappelons-le, loin d’être une science exacte au-delà de toute rationalité technique limitante. S’il est futile, il n’est pas frivole, et s’il est léger, il n’est pas à prendre à la légère. Il peut aussi avoir une vraie portée morale qui risque d’être mise à mal lorsqu’il se traduit par ce ricanement généralisé, de plus en plus de mise, hélas, dans le paysage médiatique.

L’humour est « l’art d’exister » ou encore une façon d’offrir « des idées de profil » pour la culture internaute et pourquoi pas, bientôt, intersidérale, ne laissant plus aucune chance à la naïveté et à la candeur.

Nous trouverons quand même des perles au vingt-et-unième siècle, alors même que nous découvrirons qu’en 1909, il y avait en Bretagne treize maris pour une seule femme alors qu’il n’y avait que deux tiers d’homme pour une candidate au mariage, et que l’on devait utiliser un gousset mobile pour lutter contre la sueur des aisselles. De toute façon, en -52, César avait complètement la Gaule.

La foudre est tombée, traverse et apprend à marcher, applique le respect en tout.

Depuis lors, apprends à voler Mathilde, préserve tes ailes, n’accepte jamais d’être poussée pour changer de place et préserve le sens, de l’humour.

Le globe est ressorti sans tuer personne, cet œil de pierre a-t-il des cils ? Que verras-tu après ? Le naturel et le surnaturel ?

Peut-être rien, mais tu entendras les arbres marcher, les libellules battre des ailes là où chantent les écrevisses … et la musique des sphères fidèle au Sens et au Cantique.

Une fascination si nostalgique, voire passéiste, n’est-elle pas un peu bizarre ? Bizarre ? J’ai dit bizarre ? Comme c'est bizarre !

Le mot est lâché, car qui dit bizarre dit aussi insolite, curieux, singulier, rare, étonnant … Et voilà pourquoi la perle est blanche et noire et reste perle lettrée et illettrée grâce au grain de sable. De toute façon, la loi est claire, en cas de veuvage, deux conjoints doivent signer une déclaration commune. Veuillez simplement préciser si le sexe de votre conjoint à changé ou évolué pour améliorer le quotidien des enfants, petits et grands. Le métier de fonctionnaire consiste à fonctionner, l’imparfait s’emploie quand tout n’est pas parfait et la corrida n’est qu’une scène de ménage entre mari et femme.

Jeunes filles en fleur, méfiez-vous, observez l’Agape

Mystère et silence sont armes de volupté sans épée

Attribuons la beauté de l’imparfait à une opportunité

Ton cœur décide de tout bonheur et de la paix intérieure

Hissons la grand-voile de la victoire

Invisible et invincible conscience inattendue

Le bonheur est toujours décidé par le cœur

Donnant à l’âme beauté et bonté

Entrant alors dans la vertu de la pure dignité

Être Personne en est la clé

Il n’y a aucun secret, même pas de magie, le truc consiste simplement à Vivre

A conquérir la lumière enfouie au plus profond du cœur

Pour partager … l’essentiel, invisible pour les yeux.

Plus on lit, moins il s’y trouve de sens et plus on y trouve le « charme » (Charme : du latin Carmen, qui veut dire à la fois "chant" et "envoutement".

La vérité, demeurant indissociable de l’Amour est peut-être ce charme au sens magique du terme dans un contexte ou une autre Réalité nous fait vibrer au cœur même de nos réalités quotidiennes

Si l’amour est aveugle, pourquoi les femmes aiment-elles s’acheter de la lingerie fine ?

Objet de symboles se révélant comme des chemins, des signes pour marcher plus loin dans mille et une nuits poétiques

Alors, grâce à la compassion, parviendra à son accomplissement définitif la vérité que « la plus grande, c’est la charité » (cf.1 Co 13, 13) et c'est un sport d'équipes !

La parole s’effaçant dans le Sens et le sens lui-même cédant la place à un chant pur … pour être affectivement au monde  au dessus, en dessous, devant et derrière

Les baleines ont dans la peau ces mémoires profondes, aimantes, enveloppantes et les chantent à l'Océan pour qu'il écoute avec attention l'impossible rendu possible à une première génération en ouvrant les champs d'interpétations ... 

NAUTILUSUn Nautilus du Capitaine NEMO ...

Définition "Salothe" : 

Transmutation des mots Salaud et Salope qui firent la paix dans une Salon de Thé pour sauver l'Honneur et la dignité de l'onde et des transmissions. 

Les contes et légendes ne tiennent-ils qu'au Fil de Pénélope ?

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