Hystérie
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Hystérie
Qu’elle soit collective ou individuelle, l’hystérie n’inspire qu’inquiétude et gêne. On n’aime pas la savoir dans les parages.
L’hystérie c’est le chaos et le désordre ; on se sent mal lorsque l’on doit la subir. Ce sont parfois des rires stridents et soudains, qui brûlent les cœurs de ceux à qui ils sont destinés. Ces rires sont emplis de la folie qui les a inspirée.
L’hystérie, on fait tout pour l’éviter. Rien ne peut aider à en supporter l’errance mentale, causée par une logique dépourvue de fondements pertinents et solides.
Lorsqu’elle se présente, on ne peut pas l’accueillir, pas maintenant, ni à ce moment-là. En fait, ça n’en sera jamais le moment.
Pour se débarrasser d’elle, on peut la regarder droit dans les yeux, en lui envoyant des flèches et des éclairs. Elle finit alors par se calmer, de par la froideur tueuse du regard. C’est le coups de grâce causé par le cœur noble. Il évite ainsi l’hystérie qui le gêne et l’inquiète, de par la débilité de ses attaques.
L’hystérie, c’est l’horreur pour le cœur noble.
Il se doit de la remettre à sa place.
Ceci est dit, et énergiquement.