C'est merveilleux l'unanimité, le consensus, le tout-le-monde-pense-(res)sent-pareil..... Il était une fois la merveilleuse unanimité, l'incroyable et envoûtant consensus. On parle, à raison, de l'Ukraine, mais on parle mal de la situation globale (pas globaliste ou covidienne), internationale, dont fait partie où dans laquelle s'inscrit la question "russe", question quasi pendante à la question "américaine" (on comprend mieux pourquoi un Assange est tellement attendu là-bas !).

NOUS ne faisons pas dans le politiquement correct parce que nous ne sommes pas des robots, que nos cerveaux n'ont pas encore été "dévitalisés", qu'ils ne sont pas sous total contrôle sans même recours surveillance chimique etc. 

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Le Courrier des Stratèges (25-02-2022) est fidèle à lui-même, percutant et pas consensuel pour un sou, très vif et pénétrant d'intellection....

"Ukraine : pourquoi Poutine ne se contentera pas de prendre Kiev". L'article a l'honnêteté de rappeler que l'offensive était attendue, prévisible (pas prédictible, on ne fait pas dans la divination, dans l'examen des entrailles etc., dans l'élucubration sectaire...), l'offensive était annoncée. Je cite Le Courrier : "Après la sidération du COVID, la sidération de la guerre avec la Russie ! Au-delà des premiers jugements moraux, qui annoncent une nouvelle mise de l'opinion sous le boisseau de la censure, se pose la seule question qui vaille. Quel intérêt objectif Vladimir Poutine aurait-il à ne pas affronter directement l'Occident, au besoin avec une esclalade nucléaire?"

De la CENSURE, oui. De la désINFO - de l'INTOX - en continu, du focus pour détourner.... Pendant ce temps-là, ailleurs, que se passe-t-il ? Parce quen, fran