Toi qui régit la fin. Toi qui donne un goût à l'intensité, le goût de vivre, car nous savons tous qu'il faut profiter du temps qui nous ait impartis. Toi qui arrive si subrepticement, sans nous notifier que tout s'achève là. Toi qui détermine la fin de la route. Rien ni personne ne saura t'apprécier, car tu supprimes toute vie quand tu interviens. Rien ni personne n'aime parler de toi, car tu es l'objet de nos plus grandes peurs. Celles qui nous fait savoir que tout se termine un jour, celles qui nous oblige à nous surpasser pour que ce moment funeste arrive le plus tard possible. 

Quand tu prives la vie de nos corps las, malades ou subissant divers accidents de la vie, tu laisses un vide pesant pour ceux qui sont encore de ce monde. Toutes ces personnes qui aimaient profiter de chaque instant avec eux. Qui se retrouvent qu'avec des larmes dans leur coeur meurtri de ce départ si soudain. Faisant passer chaques joies, chaque moment agréable en mélancolie. Chaque souvenir devient douloureux. Nous déchire l'esprit. Nous rend triste face à cette dure réalité. 

Fatalité, je sais qu'il te faut exister, mais tes actions ne sont que souffrances et mal être. 

Je te combattrais de tout mon être par mes meilleurs souvenirs des êtres chères que tu as emporté. Je te combattrais par la bonne humeur que je montre si souvent pour dissimuler mes larmes de sang. 

A ces âmes qui m'étaient chères, je leur dédie mes plus belles pensées. 

Textes en honneur à un ami perdu. JP, où que tu sois, nous penserons toujours à toi et ses merveilleux moments passés ensemble.

Nous étions tous une belle bande de geek quand nous nous sommes connu, mais j'avoue que cela fait partie de mes meilleurs années.

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