À l’aube de la Tiny house
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À l’aube de la Tiny house
Aube et aurore batifolent,
Au gré de leur envol,
Nacarat, tangerine,
Incarnat, mandarine,
Des couleurs flamboyantes,
Aux lueurs chatoyantes,
Vient alors le lever du soleil, comme une tonnelle,
Qui cisèle le ciel,
Je ne pus m’empêcher,
Jacinthes à contempler,
De ces damoiselles,
Au bleu majorelle,
Rien ne parait se hâter,
Dans ce havre de paix,
Le temps semble avoir pris congé,
D’un repos bien mérité,
Seule la grive musicienne,
Fait des siennes,
De son chant du matin,
Au son cristallin,
Semble y avoir été invitée, l’ataraxie,
telle l’utopie d’Arcadie,
Sérénité, quiétude et tranquilité semblent valser,
Dans un monde enchanté,
Afin de Chercher la quintessence,
De l’insouciance,
Sans oublier d’apprécier la simplicité,
Nul besoin de chercher à contempler un monde sans aspérité,
Petits moments éphémères,
Qui n’ont rien pour déplaire,
L’écho soufflant les mots,
Carpe diem quam minimum credula postero.
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