J’ai besoin d’en parler. De ces gens malhonnêtes, qui dictent l’honnêteté et qui punissent les malhonnêtes,  et certaines gens honnêtes aussi. 

Tout le monde reconnaît ces individus, qui sévissent dans les quartiers de certaines de nos communes.

On est vraiment au summum de l’hypocrisie… On ne peut pas leur faire confiance. Ni faire valoir nos droits dûment payés d’ailleurs. En plus de nos impôts, il faut glisser des billets dans les interstices pourries de la corruption. Je n’ai pas les moyens de financer moi-même les vacances et autres drogues de ces fonctionnaires véreux ! J’ai aussi décidé que je n’avais pas besoin d’eux. La détresse des autres ne les affecte pas manifestement. Les solliciter, c’est perdre son temps.

Cela étant dit, je me pose la question de leur utilité. S’ils ne font rien de ce qu’ils sont censés faire, alors leurs fonctions ne méritent aucun salaire. Leur malhonnêteté mérite la prison. Leurs inactions, des sanctions. Leur inutilité, le chômage.

Où est le mérite à être un citoyen honnête, si même ceux qui devraient l’être par acquis de conscience ne font presque pas leur travail ?

Il y a un manque de discipline et d’éthique. 

Ça me fout la gerbe. 

Le citoyen honnête est contraint de se les coltiner et de les financer. Qu’ils mangent leur argent sale, qu’ils continuent de se pourrir les entrailles avec. Je me console en me disant que, quand la connerie en tous points est de naissance, son auteur n’a pas les moyens de ses ambitions.

Sur ce, l’essentiel est dit.

Je me félicite de la concision de ce texte, traitant de la nullité de ces circoncis du cerveau.