Une question d'ONOMASTIQUE, c'est-à-dire de noms. Une étude - entre baptêmes, anathèmes, et débaptisations - des noms ou appellations dans l'affaire (le scandale) COVID19 (coronavirus) - et c'est pas la Chine ! - a quelque chose de détonnant. Mais oui mais oui.

Cela doit faire longtemps que ça dure. Les couv journalistiques ne sont pas en reste. Le déchaînement des extrêmes droites dans la campagne française a quelque chose d'hallucinant, ou d'hallucinatoire (et les extrêmes, quels qu'ils soient, ne sont pas jamais bons). Le Point s'était distingué avec un "Ce pays que tu ne connais pas" (E. Macron en une, plein visage). Il n'est pas sûr, pourtant, que la France - et le covid est une affaire américaine, et même antisémite - soit une nouvelle fois "moisie" ; qu'on la pourrisse c'est-à-dire qu'on cherche à corrompre le peuple français - tout le monde sait que la collaboration française c'est la Peuple, chut secret défense ! - quitte à rejouer un mauvais scénar. Mais, ou pourtant, nous savons que l'Histoire ne se répète pas ou qu'elle ne rétrograde pas.

Je ne parlerai pas, cette fois, de "collaboration" mais de "collaborationnisme" et ce n'est pas pour faire joli ou pour faire précieuse. La collabo, c'est l'Etat (il ne vous le dit pas, secret archives); le collaborationnisme ce serait la prise à partie du peuple par la croyance, le faire croire ou accroire, le ça vous regarde alors que non : seule la santé (ce qui ne concerne que vous en général et vous seulement, et pas les autres) vous regarde et cela ils vous l'interdisent à mots couverts. Vous collaborez quand vous faites comme on vous dit de faire (sans raison objective, sans clarté, sans explication, d'autorité, etc.) et non comme il faut faire. La grande dissimulation - la Vérité au secret - prend alors les formes du leurre. Il suffit de vous faire peur pour que cela marche, et les plus grosses âneries, les plus grosses couleuvres etc. Le COVID est un leurre, un miroir aux alouettes, du détournement et même du détournement du regard. Comme si la peur avait rapport avec la vue, mais c'est leur peur; que ne devrait-on pas voir, alors ?

La répétition a quelque chose de la HANTISE (et le fantômatique, ce qui hante est quelque chose qui relève de la vue); elle participe de la peur, d'une croyance ou d'un fantasme, elle est négation du TEMPS (pas de celui qu'il fait et dont personne ne décide, mais de CE QUI SE PASSE, de l'événementiel, du possible etc.) ; et on ne peut pas dire que "le temps covidien" (cette période de repli, de recroquevillement, de régression, de confinements ou de surplace, etc.) soit un temps programmé pour l'action : temps de l'immobilisation, les escrocs politiques diffèrent (c'est doncc partie remise). Au contraire, la différence (et quoi de plus fascisant et totalitaire que sa dénégation ou sa haine) est avancée, mise si l'on veut filer la métaphore du jeu (qui ne convient pas en l'occurrence mais qui fait lien avec ce qui précède : remiser, au sens de remettre sur le tapis) ; elle, la différence, fait bel et bien place au changement. Les vaccinés sont mis du côté de la répétition, les non-vaccinés savent parfaitement qu'ils font et vont faire la différence. Le Courrier des Stratèges a une jolie formule : "Frères vaccinés, qui après nous ne vivrez pas...." LA MORT-PROGRAMME c'est-à-dire l'attaque en règles de la Santé (diktats, le Sénat en renfort s'il le faut; c'est dire comme l'Etat est "mouillé", que le bateau covid qu'on vous a monté prend l'eau) est en train de donner de mauvais signes de réussite c'est-à-dire - en réalité - d'échec. Et la complicité du peuple (tant qu'il ne dit pas, tant qu'il ne se ressaisit pas, tant qu'il ne prend pas le contrôle de sa propre vie (l'Américain Ph. Merc