J'emprunte l'image faisant titre à The Art Newspaper Dialy ('Newsletter', hier 25 juin 2020), une revue d'art contemporain très riche dans ses contenus dont vous pouvez vous apercevoir qu'ils ne concernent pas que l'art comme si l'art existait hors de toute société, de toute polis (cité, Etat), de toute vie (création signifie aussi mise au monde, avénement..., pas besoin de Dieu pour créer....). Cette image, en pleine crise ouverte étasunienne, dit une PROTESTATION OUVERTE des artistes, à peine passé le choc de la destruction non-constitutionnelle du droit des FEMMES à avorter : " 'I'm now living in a world where young women have fever rights than I did' : art world reacts to US Supreme Court decision ending abortion rights". Ainsi la Revue réagit-elle haut et fort à propos de la régression en cours (tiens, ça rappelle le covidisme - du vide théorique, de la supercherie, une escroquerie -, de l'idéologie reseatienne transhumaniste ....), elle pense à la jeunesse féminine qui, si elle ne prend garde ni ne s'oppose à ce qui n'a rien de nécessaire non plus ni de bon pour sa santé (ce sera le retour de la clandestinité avec risques de tous ordres... ou l'émigration momentanée...), sera privée de ce dont ses mères avaient réussi à acquérir et non sans peine.

Et le CHOC exprimé est d'autant plus grand et violent - ce sera par conséquent notre sujet du jour - qu'il concerne une CORRUPTION de fait SYSTEMATIQUE (toutes les instances de pouvoir, les institutions ont été infiltrées par une eau sourde et croupissant jusqu'à remontée de son infection). L'émotion est donc forte, la sensibilité humaine toute humaine avec la raison (les covidiens sont des compulsifs, ne raisonnent pas ils ne savent pas ....; ils pompent, copient, hackent, volent, détournent, tuent....) trahissent un désarroi une fois appris que la corruption, fruit pourri d'une CONSPIRATION sans nom, a cancérisé et une Cour Suprême et la Justice américaine notamment en son Département (DOJ). Le présenteur de l'émission "The last Word" (MSNBC, 25 juin 2022) a cette formule triste, mise en exergue sur écran (en ligne sur FB), qu'il reprend à son compte : With sorrow ... we consent. "C'est avec tristesse .... que nous consentons" : tiens encore ! Arracher du CONSENTEMENT, voilà donc, encore une fois, leur but. Mais, je ne le crois pas, lui Lawrence O'Donnell, et je ne le crois pas exceptionnellement c'est-à-dire sur le coup de son émotion : NOUS NE CONSENTONS PAS ET NOUS DISONS NON AVEC JOIE. D'ailleurs, il se reprend en exposant, sans peur et courtoisement, le sans-gêne de ces politicards méprisant de la Démocratie car il faut rappeler que c'est un droit fédéral qui est supprimé et que ces gangsters (ces sectaires, adeptes des armes à feu) nient le droit constitutionnel ; c'est donc qu'ils entendent s'asseoir sur la Constitution. Le journaliste présentateur dit donc légitimement que ces gens (la Cour Suprême, en sa m