

A U.S. Freak, some American Mad Minds....
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A U.S. Freak, some American Mad Minds....
Puisqu'on a l'air d'avoir nagé en pleine folie américaine, autant citer en introduction et en image un philosophe américain (sur place, et sachant de quoi il parle) qui rappelle que penser n'est pas opiner c'est-à-dire pas juger ou juger à l'avance (préjuger) car ce n'est pas savoir, que la vérité n'est donc pas l'opinion: jamais. On n'accusera donc pas les philosophes en tant que tels de démagogie et on ne les confondra pas avec les diseurs de balivernes, les menteurs, les politiques, les attachés à l'opinion ou la réputation, aux apparences et à ses contraintes etc. J'emprunte cette citation, pour commencer, à un post lu dernièrement sur FB (source : "Poets", 3 août 2022) qui est une façon de relancer aussi la machine démocratique grippée, enrayée même depuis quelques temps avec une opinion tyrannique (pathologique, massifiée au dernier degré d'ignorance réflexive) car préparée ou instrumentalisée par une propagande sanitaire qui conduit et reconduit au pire (dommages vaccinaux, violation des droits élémentaires etc.). C'est de fait une véritable Folie, au fond, que ce virus pandémique (nom de code COVID19, une course à la couronne devenue virale en quelque sorte : corona virus) et, à la lumière du travail quotidien que déploie la Justice américaine avec des auditions se suivant sans relâche, une sorte de lubie quasi présidentielle qu'incarne au plus mal Donald Trump. Ainsi les Etats-Unis d'Amérique sont-ils en train de traverser une crise salutaire, mais une crise; les enjeux le disent (dont celui de l'avortement comme droit etc etc.); le Parti Républicain est sur le déclin, le Parti Démocrate en droit (et on l'exige de lui) de reprendre les commandes gouvernementales sans oublier des valeurs menacées depuis quelques temps par les covidiens c'est-à-dire les anti-kennedyens. Ce n'est pas pour rien que Robert Francis Kennedy Jr, le 2 août et le 4 août (réitéré dans la Newsletter de la Children Health Defense) dernier, lance A Letter to Liberals : Why I Wrote It and Why I H
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