

L'inversion-malversation covid19 : la fabrique de faux coupables.
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L'inversion-malversation covid19 : la fabrique de faux coupables.
pour Julian Assange
à Ebru Timtik
"Le spectacle n'est pas un ensemble d'images, mais un rapport social entre des personnes, médiatisé par des images." (Guy Debord, La Société du spectacle, 1971)
*
Et la propagande continue, la désinformation inonde le marché; la scène publique en est saturée. Un Faux, des Fauci....
Cela dit, il n'y a pas que la scène. Et même la digitiale, son patron se fait taper sur les doigts. Face Book - la face et l'interface - n'est plus en odeur de sainteté on dirait. Sur notre site Panodyssey, en effet, Raphaël Balenieri en fait état : "Frances Haugen, la lanceuse d'alerte qui accable FB" (article du 4 octobre dernier).
De fait, les réseaux sociaux ne sont plus, maintenant, des réseaux sociaux mais des réseaux pro-gouvernementaux s'ils ne sont même gouvernementaux. Pas besoin de fonds publics ni de subventions, le privé arrose, pour le pouvoir, tout l'espace public - virtuel - jusqu'à censurer ceux et celles qui s'expriment par des mots engagés, avec des textes revendicatifs etc. Facebook est même à l'occasion un lieu où le harcèlement se pratique, par incitation, insinuation : le malentendu, l'ambiguïté, la triche etc.
Et pourtant, donc, Mark Zuckerberg n'a pas été à l'abri du scandale de cette Tech avec Géants de l'Extrême Occident avec les "Facebook files". Et c'est là aussi, de l'intérieur, que la mèche a été vendue. Bien fait du retour de manivelle.
1. L'hémorragie d'une société spectacularisée de bout en bout (les dégâts covid)
Je n'ai pas pour habitude de citer pour commenter, encore moins de le faire pour des passages importants ou des extraits substantiels de textes, mais je le fais cette fois car c'est important. Il s'agit de G. Debord, dans le livre cité en exergue, qui définit et analyse - conceptualise - longuement le SPECTACLE et ses stratégies mortifères : "Le spectacle, compris dans sa totalité, est à la fois le résultat et le projet du mode de production existant. Il n'est pas un supplément au monde réel, sa décoration surajoutée. Il est le coeur de l'irréalisme de la société réelle. Sous toutes ses formes particulières, information ou propagande, publicité ou consommation directe de divertissements, le spectacle constitue le modèle présent de la vie socialement dominante. Il est l'affirmation omniprésente du choix déjà fait de la production, et sa consommation corollaire. Forme et contenu du spectacle sont identiquement la justification totale des conditions et des fins du système existant. Le spectacle est aussi la présence permanente de cette justification, en tant qu'occupation de la part principale du temps vécu hors de la production moderne." (I, 6)
C'est vraiment le monde de la SATURATION MENTALE, de la fatigue, de la passivité, jusqu'à l'oubli des choix qui définissent diversement tout un chacun. Avaler, être gavé, absorber, ingurgiter, être formaté, etc.
On peut aussi bien parler d'UTOPIE - société de contrôle, modèle social parfait au sens de définitivement fini où tout est prévu, clos, refermé sur lui-même, généralement uniformisé, avec sa vue de béats accomplissant un programme législatif ou social etc. - que parler de DYSTOPIE - cauchemar ou enfer vécu, enfermement etc. Au sujet de la planète covid, il est intéressant et d'entendre un Jonathan Pie (personnage fictif de journaliste énervé, joué par le comédien anglais Tom Walker, et c'est décapant) réagir à l'idiotie utopie
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