"Le cinéma lui-même est une nouvelle pratique des images et des signes, dont la philosophie doit faire la théorie comme la pratique conceptuelle" (G. Deleuze, Cinéma 2, Minuit, 1985)

La philosophie pense - et ne peut penser que - le Réel (c'est de Hegel). Plus généralement, la pensée est toujours l'ennemie du pouvoir, quel qu'il soit et ou quelles en soient les formes. Et en ce moment, le pouvoir est à dimension mondiale et porte le nom de "covid19". Ici ou ailleurs, nous assistons à un recul voire à une privation totale des libertés, à la négation des droits fondamentaux, et à la montée d'une extrême droite c'est-à-dire à une répression sans gêne et à une censure non dite, à l'instauration d'un Etat policier (regardez le documentaire d'Amnesty International, intitulé "Présumé coupable") avec sa propagande, sa pensée évidemment unique qui fait penser à un entre-soi (culte entretenu du même, éloge du clos) au sujet duquel je finis par me demander si un pouvoir comme l'est le pouvoir psychiatrique, lequel prête traditionnellement sa main ou son bras au pouvoir en général, n'est déjà pas et derechef dans le coup : que diriez-vous si l'invitation à un congrès (par exemple celui de l'EPA) où votre propre discipline est l'un des thèmes requis mais que vous ne puissiez y participer parce que vous n'êtes pas du clan disciplinaire roi ou principal ? J'ai des doutes, non je n'en ai plus.

En ces temps très indécis mais plus vraiment troubles ou pas tant que cela, le pouvoir - les gouvernants, gouvernements - a trouvé à se mettre sous la dent (toujours cette oralité), à parer à ses défaillances et fautes : un virus pandémique, une pure fabrication dont on devrait encore réfléchir à son appellation. "CORONAVIRUS" :  virus de la Couronne, s'il vous plaît ! Mais laquelle (de couronne)? Celle d'un roi ou d'une reine ? D'un prince peut-être ? En plein de conte de fée(s) - à supposer que ce genre de littérature soit bien compris ne serait-ce que par les adultes -  serions-nous ramenés ? En pleine régression, politiquement c'est sûr; mais psychologiquement c'est également sûr. Leur CONTE - NARRATIVE - est bien pour marmots. De toute manière, si on en cherche le sens voilà ce que cela donne en formulant : y aurait-il des têtes à couronner et des pouvoirs à défaire ou détrôner ? Y aurait-il des titres à revoir, à contester comme qui de droit ? 

Dimension mondiale, internationale, de ce virus fabriqué, au service manifestement des pouvoirs, mocalement incendiaires depuis les USA déboussolés avec leur Chine semble-t-il, avec un Fauci-Faust (piteux chercheur si on en juge par ses travaux précédents, alors homme de paille ?) que leur Congrès a interrogé et lequel a été pris en flagrant délit de parjure, et pas encore chassé ni inculpé !

Car ce virus a tout l'air d'une stratégie, d'obéir à un plan ; de fait, il sert l'épouvantable projet de "Great Reset". Le corona-machin-bidule-chouette répond à un plan de guerre, peut-être de défense ; il ressortit peut-être à un pouvoir menacé, qui se sent attaqué. De fait, aussi, un POUVOIR qui s'oppose à tout SAVOIR, à commencer par celui de la science qu'une crise sanitaire regarde au premier chef. Mais il ne s'agit, en réalité, que d'une QUESTION POLITIQUE - de pouvoir en ce sens étroit du terme - dont le VRAI NOM est celui d'un SCANDALE. Une légitimité, ou délégitimité virale ? Ceux qui sont hantés par l'ORIGINE, ce refoulé qu'une mafia financière va aider, ou veut aider, à contenir : la "Grande Réinitialisation", c'est de l'Origine mais autrement : de l'origine fabriquée aussi, une seconde origine pour remplacer la première qui l'insupporte.  EFFACEMENT de l'origine (comme des data en général), des origines, du début : programmation concurrentielle de cette putain de Nature (pardonnez-moi pour le terme mais il répond bien à ces satanés avec leur vocabulaire de secte, d'inquisition, de prêcheurs). Un plan B, faute de mieux, pour que ça marche (mais cela marche-t-il ?), pour répondre à un plan D - Delta - . Il fallait bien allumer un grand feu pour conjurer toute cette eau : hubris, sectarisme, tout ceci a été expliqué dans les articles précédents.

Ce qui m'intéresse cette fois (on a attaqué cette falaise, on n'est plus baladé en haute mer), ce sont ces foutues fadaises, de taille, et les moyens déployés pour les faire entrer dans les crânes de tous, pour bafouer toute vérité. On ne s'étonnera pas, non plus, que des protestations - sursauts de légitimité et de vitalité - s'organisent : à Rome, un Sommet (par le haut), avec en tête Robert Malone (l'inventeur du mRNA ou "architecte de cette technologie" concurrentielle au savoir-faire naturel de l'ADN), s'est tenu le 12 septembre dernier comme le relaye "The Defender" du 27-09 : "STOP CRIMES AGAINST HUMANITY". Ce non-précédent, qui entend déposséder les autorités compétentes (tout ordre du care) de décision, montre une fois de plus cette "intrusion" (sic) ou "ingérence" (sic) constante jusqu'au monstrueux et particulièrement, profondément attentatoire. Il s'agit d'une accusation portée internationalement par des médecins et des scientifiques (mon chiffre dont je n'ai qu'une fourchette : entre 4600 et 5200 signatures). Au vu d'une population mondiale, globale, qui continue d'obtempérer en sa majorité et à son désavantage ; il ne s'agit même plus de fiasco vaccinal mais de génocide par injections mortelles régulièrement portées sur les patients dociles et ployables au chantage économico-social, piégés par le passe sanitaire qui les discrimine aussi positivement ! Oui, au vu de ces spectateurs inconsidérés - somnambulaires - , il apparaît que le bon sens - sens commun, celui d'un bon cheval [pas blanc ou immaculé] - ne peut être la chose du Monde la mieux partagée en l'état; son usage, celui de la raison (et même l'émotion paraît anesthésiée), de la raison éclairée et active, critique, que ce sens naturel est en panne ou malade, paralysé : c'est un air de peur - et de banalité de la peur - qui plane sur les têtes pesantes dont la santé mentale est manifestement plus que douteuse. Pourquoi ?

1. Attaques et labels (badges) : CONSPIRATIONNISME ET ANTISEMITISME.

Bon d'accord, les "conspirationnistes" ont perdu leur stigmatisation: à charge d'arguments pour l'autre camp malveillant et vraiment à court de raisonnements : ces mythologues, logués à leurs machines et écrans de surveillance .....

Cette étiquette de discrédit est tombée, en effet; elle ne tient plus, manque de colle, d'adhésif, d'adhésion. Plus la peine de ramer. Et puis, d'abord, les COMPLOTS (plots) on toujours existé, surtout en politique quand il s'agit de prise de pouvoir, d'emprise, d'empire; et il s'avère que la fameuse -ridicule - pandémie ne prend pas ou plus, de moins en moins pour la minorité qui grandit : on connaît son origine à elle, un labo et son directeur officiel : labo bravo pour les dégâts.

Cela dit, il est risqué de s'afficher comme théoricien du complot ou "complotiste"; car l'image de la folie est aussitôt brandie par les détracteurs de ce camp-là; et le pouvoir, qui interne et déclassifie avec ses différents ordres et corporations, se débrouille pour. Il n'empêche.

A. Retenons, pour lors, le discours de David Icke, qui est devenu consistant avec le temps. Ancien journaliste sportif  (le FOOT !), es