Tempêtes de cotillons
Tempêtes de cotillons
Une telle intransigeance cristallise mes artères,
Fort peu accoutumées à cette viscosité.
Je me languis de toi et me vautre par terre,
Le regret se propage à pleine intensité.
Abhorres tu ma personne ? Es-tu abominée
Par ces tempêtes subites, ces féroces tourbillons,
Traversant d’un élan ma haute cheminée,
Pulvérisant sans frein nos cœurs en cotillons.
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