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D'une étreinte charnelle,
Elle s'empare de mon corps,
Possessive et cruelle,
Elle m'en impose encore.
Des entrailles à la gorge,
Elle s'inscrit dans ma chair.
Rituel sacré d'un ménologe,
Elle œuvre, missionnaire.
Ogresse sans vergogne,
Insatiable elle me dévore.
Dévouée à la besogne,
Jusqu'à son soul, m'essore.
Dans les limbes de mon esprit
Vaincu, suffoque mon âme.
La déferlante furie
M'anéantit. Infâme.
Elle épand ses ondes.
J'implore.
Roulent et grondent
Les tambours de la mort.
c.lair.e
De nombreux artistes plastiques et auteurs ont essayé de représenter ce sujet ô combien difficile. Allez-vous trouver de quel tourment il s'agit ?
Réponse : cette poésie m'a été soufflée par l'Angoisse.
Une silhouette dans la pénombre d'une pièce comportant quatre fenêtres grillagées.
(Illustration de julius drost Ariu 17epnPK unsplash.com)


C.lair.e 6 mesi fa
De Thierry CHATEL :
"Ce poème magnifiquement rédigé, empile en sa construction des vers d'une étrange violence sournoise. Est-ce une maladie, la guerre, le deuil ? Ce pourrait être les vers de tous les malheurs qui rongent l'humanité. La douleur, les douleurs."
Jackie H 6 mesi fa
Crises d'angoisse, crises de panique ?
C.lair.e 6 mesi fa
Oui, il s'agit bien de l'angoisse. Merci !