Migration sauvages... image libre de droit de Dmytro Bayer .
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Migration sauvages... image libre de droit de Dmytro Bayer .
Une lionne ne se posait jamais de questions. Comment faire nul être ne le sait, cette femelle reine de la savane avait six mâles à soigner, nourrir le roi, et de plus s'occuper de la propreté de ses petits lionceaux , les éléphants faisaient trembler le sol, encore bouger se dit-elle ?
plus d’herbe, elle était ocre rouge, plus d’eau elle est pas comestible, juste au goût salé, dixit un pygmée dans sa tribu naine, forte de un petit peu de soixante habitants, des deux sexes, la parité, cinquante cinquante cela fait sang pour cent, non ?
Afrique, tu ne connais pas ta peine, quand nu tu navigues sur les rimes des flots de la méditerranée, trop chargée. coule, roule, coule, roule les larmes des flots…
Vous donnez votre honneur, et nous les Européen payons au prix de nos aigreurs d’estomac, les crabes qui nourrissent votre sommeil, ...
Marin d’État, je le fus, je le fuis, marin d’État honte à vous d’utiliser la noirceur du temps pour vendre des peaux qui un jour, plaque tectoniques tourne tourne éolienne, et deviennent blanc, linge sale.
Éolienne pourrissent le ciel, impossible de sextant navigation, imaginez moi arc-en-ciel, sur le nez, sur le visage, phare du Créac’h,...
De Ouessant à Douarnenez, nous vous servez de sécurité, anti-gel, anti, dérive, tel un emmental, continental, le sandwich de la vie est un enfer pour tous, la vie n’a pas de prix, et sous la prise de l’emprise des lois de l’économie, vous mendiez des deniers, bande de niez !
Honte de retourner sans argent, sans orfèvre, sans fève de la vie, dans vos ville bidon, vélocipède abandonné, le tour de France reste sans sécurité, camp de rétention, attention, déception, la manche est une mer, pas un étron, une merde pour toute explication…
Je dis dans une chanson éponyme ," je suis un métissage un piano ni noir ni blanc ", et j’ose dire que j’ai raison car frère des Afrique et du Maghreb le soleil et le lion tuent vos espoirs de voir le soleil et l’aurore boréale qui se nourrit de l’électricité statique, allant du bleu à l'âme pour devenir verte. Espoir !
Verte l;a robe des couleurs vu du ciel de la forêt antique, la brousse du Congo vous l'appelez et c’est des bois de cerf, des nobles âmes d'éléphanteaux, eux cours, joue, roule rient, avant de prendre une balle, une malle eau, espoir de boire des cours d’eau.
Amazonie zone de folie, c’est ma vie, souvenirs des sauts, des cascades elles sont nourris de roches abandonnées par le dieu soleil, et la lune, elle, à l’abandon; Et sans oublier, les planètes et leurs lueurs dérive intestinale.
Un pas pour l’être Humain, finissons les conquêtes, Armstrong ne jouait pas de la clarinette, sur la lune, il explose pas de rire, comme moi, je refuse le bal celui des troubadours. ( Ner sachant pas danser !) or la balle dans la tête, un risque de plus lorsque on sème l'argent pour vivre sans bagages,
Allez enfants de l'Afrique, cessaient, donc, de monter sur vos navettes de l’Espace, vos navettes Penn Ar Bed, Bed, le lit, la lie être de terminé sa vie, la tête sous l’eau nourrir l’encre noire des calmars géants des abysses, bateau, et pas navire de l’enfer…