I'm not joking, sure : I'm honest you know. So : qu'est-ce que le Plus-jamais-président-des-Etats-Unis-D-Amérique (a Democratic shame) a en commun avec le fondateur de Wikileaks (a so useful brave whistleblower) ? Car ils ont, hélas (faut-il le dire ?), quelque chose en commun : ils sont poursuivis pour violer ou contrevenir à The Espionage Act. Pas mal....dans le genre.... 'investigation'; 'réflexion' ; et là, ce n'est pas d'intelligence artificielle dont il faut s'armer. A première vue, ce rapprochement de circonstance est bizarre, ou curieux, et .... à voire, il n'est pas sûr du tout du tout.... qu'il le soit, disons qu'il le soit méthodiquement sachant qu'un temps de guerre est à la fois un temps d'action et un temps de réflexion ; rappelons que nous pensons a Huge (unprecedented) - Criminal - seditious - Conspiracy  autrement dit un ennemi conspirateur ou homme  qui est ou se tient derrière (en coulisse, etc.). et  même derrière derrière etc. De sorte qu'avec les éléments informatifs dont nous disposons aujourd'hui et qui accompagnent une sorte de libération américaine de la parole journalistique (beaucoup de minorités sur site ont été rejointes par les grands ténors de la presse...), nous avons de quoi faire avancer l'investigation philosophique. 

Soit un point, avant de poursuivre, pour résumer et mieux mettre en perspective cette comparaison on ne peut plus sérieuse : Julian ASSANGE attire sur lui l'attention internationale en 2010, ce qui lui vaut les foudres de l'U. S. Army Intelligence ainsi que de faire l'objet, par le gouvernement américain, d'une enquête criminelle (criminal investigation). L'ambassade d'Equateur lui donne un temps asile à Londres, en 2012 au motif qu'il est persécuté (ce qu'il est toujours). Cela n'empêche pas l'homme, le journaliste engagé, de publier en 2017 une série de documents qui détaillent les activités de surveillance très poussée (et notamment technologiquement tels) d'une CIA dont une partie d'officiels aguerris et anciens envisagent de le kidnapper et de l'assassiner. Et c'est en 2019 qu'il est alors accusé de n'avoir pas respecté la Loi américaine sur l'Espionnage tandis que des défenseurs arguent contre cette charge du Premier Amendement comme garantissant la liberté de presse et donc de diffusion de l'information; les USA (disons la CIA, plutôt) ne s'arrêtent pas là et exigent son extradition en 2021.

Personne ne dira sérieusement que Donald TRUMP soit persécuté (j'entends des rires) ; son cirque n'attrape plus guère de monde, il a quelque chose du guignol ou plutôt du pantin qui aurait pu avoir été mis en place (mais par qui ? Question à la réponse très difficile à trouver!) avant qu'il s'enquierre, tout flatté qu'il s'en fût épris de lui (son portrait a été suffisamment brossé depuis quelques temps par la Presse), de truquer le second scrutin présidentiel pour être sûr d'être réélu et de griller hypocritement la politesse à Joe Biden. Il a donc plutôt l'air, le paraître (plutôt que l'apparaître) d'un homme de paille, grande gueule et dit tout et surtout ose tout y compris vis-à-vis des autorités et on se demande bien, en ce moment, quelles d'entre elles tient par dessus tout à le poursuivre en justice et à l'arrêter sinon le FBI, le FBI et puis le FBI , de quoi abonder dans une tendance paranoïaque de l'urluberlu