

Black Swan (Darren Aronofsky, 2010)
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Black Swan (Darren Aronofsky, 2010)
Ce qui me frappe après avoir revisionné "Black Swan" que j'avais vu à sa sortie au cinéma c'est le problème de la distance au sujet. Lorsqu'il en est trop éloigné, le film est souvent froid voire clinique et parfois ennuyeux à force de détachement. Trop proche, on est au contraire aspiré par un maelstrom d'émotions mais on est pas davantage en empathie avec le personnage car on est projeté en lui (je devrais dire même dévoré par lui) ce qui rend toute altérité impossible. Là on est dans la seconde catégorie. Je n'en peux plus de cette Nina qui envahit l'espace à tel point qu'elle ne laisse exister personne d'autre dans le cadre. D'un bout à l'autre, il n'y a qu'elle, vue sous toutes les coutures, reflétée à l'infini par une ribambelle de miroirs et de portraits ou projetée sur les


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