

Journalisme et corruption : la propagande covid.
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Journalisme et corruption : la propagande covid.
"Un journal qui respecte la tranquillité de ses lecteurs, c'est un dortoir ou un hôpital"
"Il y eut un temps, peut-être, où le journaliste était la voix des autres. Il n'est plus que le ventriloque de la tripaille fermentée du milieu journalistique"
Ces deux citations d'un jeune et audacieux philosophe qui mit en accord - ne se dédit pas - sa pensée avec sa vie, écrivain rosse et journaliste polémique (tirées de "Guy Hocquenghem. La révolte (1946-1988)", pp. 65-66 et p. 69), valent encore rappel à l'ordre déontologique. C'est-à-dire qu'une PRESSE LIBRE, indépendante, digne de ces qualificatifs, doit exercer coûte que coûte un DROIT D'EXPRESSION, en l'occurrence exercer un droit d'information (droit auquel correspond un devoir) et non se plier à un exercice de communication; elle doit le faire sans fléchir, sans se soucier d'un pouvoir avec ses pressions (financières, idéologiques, ad hominem, etc.) dans la mesure où le cas contraire mettrait en péril l'usage démocratique du discours ainsi que sa profession même au panier.
Or, aujourd'hui, le discours journalistique se réduit quasiment à une peau de chagrin. Un "NARRATIVE" (récit, mythe), même pas un discours, tend à occuper tout l'espace public : les Officiels dictent aux rédactions - dont celles, principalement, de "chaînes d'informations" télévisuelles, plateaux d'enchaînés qui donnent pour beaucoup dans la vulgarité ou la facilité -, qui dictent à ce "milieu" (mot d'Hocquenghem) ce qu'elles doivent dire de sorte que ces chaînes dites d'"information" colportent en réalité de la désinformation ; c'est du tranquillisant en boîte qu'elles vendent aux gens, c'est de la propagande éhontée qui circule avec ce qu'on appelle ses "éléments de langage" pour s'aliéner des volontés encore velléitaires : ce qu'une minorité transversale - c'est-à-dire sans considération de lieu ni de compétence (médecins, chercheurs, journalistes d'investigation, avocats, défenseurs de droit à la détermination individuelle, associations diverses - concernant par exemple la santé etc.) - appelle le 'canular covid" ou "l'escroquerie covid", ou 'la comédie covid19" ou "le scandale covid".
L'invention, la fable, d'une "pandémie" - un méchant virus qui n'est en réalité qu'un minus ou gugus de pas grand'chose, une production laborantine délibérée, sévice de l'incompétent mais médiatique Docteur Fauci -, cette invention avec son hygiénisme de confinements et sa sinistre panoplie (masques, gels, "gestes-barrière", etc.), avec ses pseudo-mesures sanitaires et ses vraies mesures dictatoriales, sa politique à coup de décrets qui pratique l'illégalisme quasi généralisé, qui organise de la discrimination entre vaccinés et non-vaccinés (l'ordre est intimé de se faire injecter à répétition des doses chimiques qui mettent à mal le système naturel d'auto-défense immunitaire, de consommer des vaccins préjudiciables à la santé et dont on connaît les effets dévastateurs et dommageables à plus ou moins long terme), une discrimination actée par un laisser-passer qui est aussi un passe-droit (qu'ils ont beau appeler "passe sanitaire"), cette piteuse et honteuse invention-là met en cause désormais la PAROLE JOURNALISTIQUE, une crédibilité qui ne vaut que pour une corporation (avec son esprit de corps, telle une mise au pas qui n'aurait d'égale que celle d'une armée) et qui trahit un communautarisme synonyme d'entre-soi ; un post sur LinkedIn de l'humoriste Blanche Gardin (et on sait qu'il n'y a pas plus sérieux que l'humour, quelle qu'en soit sa nature) n'a pas fait rire du tout du tout les gens aux manettes puisqu'il a disparu de la circulation digitale, alors que ce post très intéressant disait en subtance ceci : "Nous vivons maintenant dans un pays dans lequel les journalistes sucent plus de bites que les prostituées". Bon mais triste résumé.
On entend dès lors la parole-ronron d'un journalisme ayant perdu son sens, une parole qui entraîne la circulation non pas d'un discours - il n'y en a pas - mais d'un code fait de mots d'ordre (à faire passer). Personne ne bronche, tant pis pour l'irresponsabilité du métier qui se fiche de l'impact préjudiciable sur les peuples déjà angoissés à l'idée que soient menacées et leur santé physique (santé mentale incluse) et leur santé économique... : ils vont à la soupe, ils font leur "taf"; ils enchaînent les communiqués sans que ne leur vienne à l'idée que le tout craché et recraché de temps d'antenne (de marge audience convoitée et d'audimat prisé) ne tient pas debout. Les "FAKE NEWS" propagandistes inondent le marché télévisuel, radiophonique, publicitaires etc., comme si la vérité de leur énoncés impersonnalisés (alors même que le vedettariat est devenu aussi une préoccupation de cette profession), comme si cette vérité reposait sur la possibilité de se passer des FAITS ainsi que sur la plausibilité des chiffrages (autorisés) et des sondages (commandés) de plus en plus pris en défaut tout comme les services du Ministère de l'Intérieur, lequel dénie le nombre en augmentation des protestations dans les manifestations contre l'ignoble "pass san" ; on peut le vocaliser ainsi : "hey, j'ai mon badge, mon p'tit papier, ma p'tite attestation M'sieur l'Ministre. Du reste, cela marche ou fonctionne dorénavant à grand coups de menaces de licenc
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