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Il est où le bonheur, Il est où ?

Il est où le bonheur, Il est où ?

Pubblicato 11 set 2020 Aggiornato 11 set 2020 Cultura
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Il est où le bonheur, Il est où ?

La question du bonheur, c’est sa nature. Ce n’est pas une simple succession de plaisirs, pas un simple pompage d’endorphine ou de tout autre hormone qui constituent les réseaux de la récompense. C’est d’ailleurs intéressant de voir que l’on mêle la chimie du plaisir avec la notion de récompense. Simple connectivité d’un système qui assure une réponse réflexe de plus long terme en récompensant le meta être à travers une drogue auto fabriquée. Dans cette mécanique du plaisir, il y a même la souffrance qui participe. Faire un effort physique au-delà de ses limites est une drogue psychologique pour asservir le circuit destiné à détourner la douleur. Si le bonheur n’était que plaisir, on aurait tous des ampoules aux pieds, usés par la course à la félicité.

Le plaisir, je le maîtrise. Pas par la douleur physique mais par le plaisir des sens. Les drogues sont là pour booster ou mimer le circuit. Il y a un prix, celui des statistiques de santé publique. Je cours vers une mort certaine avec du chocolat, du gras, du tabac, de la sédentarité et de la pollution. J’y vais avec la certitude de ne manquer aucun des plaisirs raisonnables. Et donc suite de plaisir ne vaut pas bonheur.

Mon plus grand malheur est de ne pas savoir ce que c’est. Je n’arrive pas à définir ce malheur que je n’ai jamais vraiment connu. Suis-je légitime à accéder au négatif de ce que je n’ai jamais vécu ? L’absence de malheur, en tous cas, ne définit pas le bonheur.

J’imagine le bonheur comme ce bruit blanc qui tourne dans ma tête. Une mise en résonance des ondes du cerveau qui sécrète à flux continu le cocktail d’apaisement. Une méditation éveillée qui n’exclut pas les soucis, mais n’en fait pas des malheurs. Libéré de la peur du présent et de l’avenir, insouciant, maître de ses émotions et prophète de son savoir.

La paranoïa n’est que discernement du présent et de l’avenir ,
La schizophrénie n’est que reflet de nos choix obligés.
Ce monde nous asservit dans le malheur, tout en sécrétant la chimère du bonheur.

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