

Dialogue entre les facettes
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Dialogue entre les facettes
- Je sais pas trop à qui parler alors me revoilà face à toi Petit frère.
Ces derniers temps ça va pas. Je perd le goût de tout ce que j'aime je suis au millieu d’un océan ou je me nois
J'ai sans cesse des flash-back et des pensée automatique qui vienne me hante, comme pour venir m’écrasé. Je suis triste et le noir vient me cerner.
Mais je ne parle pas je n'y arrive pas. A qui dire ces mots sans troubler ou blessé.
Et moi j'ai ses yeux noir me Brûlant comme un souvenir glaçant. Je n'y arrive pas. Je ne comprend pas. Pourquoi...
Pourquoi je n'arrive à rien. Pourquoi je ne rentre dans aucun cercle...
Pourquoi j'ai l'impression que ma place est nulle part
Que je n'ai pas le droit de lever le regard. J'en peux plus. Je veux relâcher ce monstre qui me broie l'estomac. Je ne veux plus courrir. Je veux pleurer. Je suis bloquer dans ses pensée dans les yeux ardent d'un monstre qui m'a brise. Pourquoi à til fallu que je le vois. Pourquoi.
Aïs je laisse paraître la moindre chose.
Je ne veux pas. Je suis pas un jouet. Je suis vivante.
Merde vivante.
Mais à quoi bon hein.
Des flash toute la journée
Des larmes qui ne veulent pas couler
Et moi déprimé au milieux d'un ruisseau
Sans eau
Ou les pierre attendent
Mais se mepreine
Il n’y aura plus d'étincelle
Plus de tintillement
Moi qui suis pleine d'espoir
Ou c'est il enfui
Je le cherche
Je cherche
Ma persévérance
Mes pas de danse
Mais rien
Pas une trace
Pas une chance
Aide moi
Qui suis je
A part cette fille souriante
Quand son cœur s'efface
Quand elle se lève
Et tombe sans se relever
Que qui je merde.
Mériterais je un jour
De me tenir debout
Prônant la force d'avoir vu le bout
D'un tunnel qui ne finit jamais
D'avoir souffler quelque mots sur les récif de mes plaies.
Non mais ou vais. Le regard me suis.
Pesant oppressant et surtout plein deffroyable instant.
Fuie me crie ma tête.
Mais est ce possible de se fuir soit même.
Non.
L'impossible.
Je resterais un fantôme.
- Tu ne rentres dans aucun cercle car c’est un cœur resplendissant qu’il te faut, et aucun cercle ne serait capable de le contenir
Quand notre place est nulle part c’est que l’on a notre place partout, car partout tu peux t’intégrer et t’affirmer auprès des gens que tu aimes
Pourquoi lever le regard quand le monde est à tes pieds, et même si les étoiles se dressent au dessus de toi, tu en as autant dans la prunelle de tes yeux
Si tu ne veux plus courir, marche, si tu ne veux plus marcher, arrête toi et quand tu l’auras fait regarde autour de toi, les gens qui sont là pour toi, regarde derrière toi, tout le chemin que tu as parcourue
Si tu veux pleurer, fonds en larmes car chacune d’elle est une ode à ce que tu étais et à la force qui t’accompagne désormais
Tu étais brisée mais chaque jour tu te répares un peu plus, et bientôt tout cela sera derrière toi
Tu le vois parce que tu es attentive à tout, et même si tu penses qu’il remplit ton champs de vision, tu es celle qui regarde les gens autour de toi et voit leur beauté intérieure leur amour pour toi et tourne ton regard vers eux vers leurs émotions et leurs résolutions
Tu as laissé paraître le bonheur et l’amour qui t’emplît désormais et en faisant ça tu les assumes pleinement
Tu n’es pas un jouet et tu te rendras un jour compte d’à quel point tu te joue du monde
Tu es vivante aujourd’hui demain toujours
Des flash d’obscurité qui t’aveuglent et rendent le jour trop brillant, mais il l’est le jour est brillant, lumineux et bienveillant
Un ruisseau d’émotion qui ne se tarit jamais où les pierres précieuses sont les éclats iridescent de chaque accomplissement
Plus d’étincelles, une lumière éblouissante, plus de tintillement mais une chanson mélodieuse qui résonne
Un espoir qui te remplit tellement parfaitement que tu n’arrives plus à le voir, un espoir qui ne peut finir quand on est là pour le reremplir
Persévérance qui te définit et qui t’accompagnera toujours
Des pas de danse que tu effectue encore et encore malgré les regards autour de toi pour te prouver à toi à eux que tu n’es pas brisé, que tu peux encore t’amuser que tu peux encore rêver même si le regard t’écrase
Des traces qui se déssinent car elles écrivent encore et encore tes pensées sur des pages, pages blanches qui prennent forme et où tout restent à imaginer
Pas une chance mais un milliard
À part cette fille souriant, cette fille qui est capable de rire quand cela ne va pas, qui est capable de s’ouvrir aux gens mais quand elle est au plus bas afin de combler leurs creux même si les siens ne sont encore refermés
Quand son cœur s’efface, ses mots reste et sa force grandit
Quand elle se lève et qu’elle retombe, elle reste un moment allonger avant de refaire une tentative et si elle ne se relève pas, elle se s’aide de ses mains, à quatre pattes puis de ses genoux et attrape alors la main tendue
Car dans ce monde déchiré et corrompu, elle seule mérite vraiment de tenir debout car ses accomplissement dépasse l’entendement et personne ne lui arrive vraiment à la cheville
Un tunnel qui ne finit jamais mais qui n’est pas que sombre et effrayant, un tunnel qui passe par toutes les couleurs tous les états aussi magnifique que décourageant aussi avantageux que déprimant
Quelques mots sur les récifs des plaies comme un point de suture, qui seul ne vaut pas grand chose mais qui mit bout à bout forme un pont de rimes au dessus du vide
Un regard qui te suit, oppressant, des dizaines de regards qui t’admirent, aimant, plein de milliers d’instant bénis
Fuis te crie ta tête, pleure te crie ton corps, vie te cris ton coeur
Impossible de se fuir soit même alors accepte toi et regarde ta beauté, admire là comme nous le faisons au quotidien
Tu resteras le fantôme de celle que tu étais, mais tu n’es plus un fantôme tu es quelqu’en d’autre qui va vivre car elle le mérite
Le flou autour de toi, comme un brouillard qui t’empêche de voir le chemin devant toi, pourtant la main qui tient la tienne est tangible et rassurante, tu ne la vois pas mais tu la sens alors laisse toi entraîner
Un bruit assourdissant qui ne veux pas s’en aller car il faut désormais l’apprivoiser, car une fois à toi il éclatera vers ceux qui t’ont fait mal
Le vent qui hurle pendant que tu penses tomber, mais tu ne tombes pas, tu voles.

