OUFFS,,,Si cette nouvelle vous parait "valable" pourriez vous la faire basculer sur mon profil. Badge validé Merci L e cas contraire, un ptit avis sur son contenu serait le bien venu Cordialement.

Monsieur En désespoir de cause je vous fais parvenir mon texte par message Je suis à France service. il ne parvienne pas à envoyer mon texte.

A la lueur d'un étrange éveil, je vagabonde.
A l essence de mon être , devenu papillon,
par monts et par vaux, je m'achemine.
Je brave l'éphémère d'un jour autre.
Je découvre divers continents.
Certains semblent en suspend, tel un coucher de soleil inachevé.
Au passage d'un détroit, je côtoie une petite algue verte.
Elle se meure de soif, égarée en des dunes lunaires ,elle rêve d'oasis.
Je l'abreuve d'eau de papillon suave et délicat.
Repue, à l'éclat d'un soleil d'or, elle renait et rejoint le jardin des océans.
En algue rubiconde, elle pare les coraux d'apparats brillants.
A la chaleur de volcans sous-marins ressurgissent des raies Manta. Le chant des baleines exultent. Les océans se ravissent.
le temps se figent.
la mémoire du monde frémit.
Un crépuscule vermeil se profile.
Des âmes vertueuses d'illustres disparus émergent.
Défilent des mots à l'encre indélébile.
Un parchemin vieux de dix milles ans, s'émeut.
Arraché à d'humbles rêves de réconciliations, il ombre l'espace de flots amères.

De violentes bourrasques balaient l'horizon en quête d'une nature identitaire.
Le souffle saccadé de l'instant, s'agite.
Aux aguets les saisons se débattent pour renaître. .Au paradis de naguère, elle songent :
"L' hiver au blanc manteau, n'est plus. La pluie blanchie d'étoiles,triste, se liquéfie en brume grisâtre.
L'automne dont les feuilles mordorées tapissent l'âme se noient en des chagrins de boues.
L'été paré de bois aux frondaisons jaunies, se meurt.
De folles fougères façonnées par des vents équatoriaux, résistent.
Des arbres millénaires pour certains dénudés patientes silencieux mais dignes.
En des sols arides, ils puisent la résilience du désespoir."
En sol pleureur parfois ils se meuvent à l approche de l'enfer.
Des flammes au loin colorent le ciel de pourpre.
Des conifères à la jeunesse volée, râlent d'agonie.
Les hôtes terrifiés d'une canopée paradisiaque sombrent dans la folie.

Des îles à la gloire séculaire s'éteignent. Sous un brasier d'ardente fumée, elles quittent leur ancrage.

Un silence terrifiant bouscule la conscience des "grands hommes" en ultime défi.

Le tonnerre gronde.
Des flots de pluie raniment des terres infertiles.
Un plant de coquelicots submerge les lieux en messager de l'espoir. Une litière végétale pare le sol de pousses prometteuses.
De jeunes abeilles épousent des fleurs champêtre.
A l'aube d'un été autre sous des cieux providentiels, c'est la renaissance du vieux monde.

L'humilité d'hommes sages instruit de nouveaux horizons.
L'illusion de siècles hybrides à tendance "mégalomane" s'estompent.
Des particules meurtrières se pulvérisent en pénitence.
L' infra-monde se réjouit.
En papillon serein, alors, je poursuis ma route en des lieux où la mort n'existe plus.
L' alchimie de la création des étoiles se perpétuent.

C' est le retour des jours Heureux.

Bienvenue à bord du vaisseau Panodyssey !
Je suis un des matelots du navire.
Si vous avez besoin de quelque-chose, c'est simple, faites-moi signe ici ! Et je vous répondrai ici...
Bon vent, belle création et belles rencontres dans la communauté des créatifs Panodyssey 🐟 🐟 🐟