Une semaine de plus se termine et le Nanowrimo approche. La peur augmente. Heureusement, je ne suis pas tout seul. D’autres Plumes ressentent cette peur. Cela fait drôlement relativiser je dois dire.

       Après mon article de vendredi, je ne sais plus trop quoi te raconter. Et je suis épuisé mentalement donc je pense être bref. Tout ce que je peux te dire c’est que mon objectif de la semaine est rempli. J’ai mon plan et une idée plutôt claire de mon scénario. Malheureusement, je n’ai pas vraiment avancé sur mes personnages. Et comme si ça ne suffisait pas comme problème, à partir de demain, j’attaque la construction du monde, de l’univers que vont découvrir Abouri et Tekari. Je t’avoue que j’aurais bien laissé ce travail à mon imagination le temps du Nano. Mais je la connais, elle n’est pas encore assez forte pour tout créer sereinement. Donc il vaut mieux que je me penche dessus avant.

       Tiens, j’avais aussi dans l’idée d’inventer une langue pour cette histoire. Mais je sens qu’en sept minuscules petits jours, cela risque d’être compliqué. Alors je pense que je vais déborder sur la semaine suivante qui est normalement consacrée à la préparation mentale.

       Dans un demi-mois, je contemplerais la montagne qui me surplombe en me demandant si je vais pouvoir grimper jusqu’au sommet. Puis, une trentaine de jours plus tard, mon regard sera potentiellement dans le sens inverse. Je l’espère en tout cas.

       Pour l’instant, je ne regrette pas d’avoir décidé de participer à ce défi. C’est épuisant, mais en même temps très enrichissant. Il me tarde d’en tirer de belles leçons. Mais je pense que je suis entrain de m’enflammer.

       Alors je vais m’arrêter ici pour cet article.

       À la semaine prochaine cher lecteur.

Image dans le texte : Image par yogesh more de Pixabay 

Image de couverture : Image par Dariusz Sankowski de Pixabay