COVID’ SCANDAL, or covid = mafia

Quand on invoque (des documentaires critiques, percutants) le titre hitchcockien « Le Crime était [presque] parfait » (« Diary M for Murder »), on se trompe. C’est le « Murder the Most Foul » de B. Dylan (« Le meurtre le plus fou ») qu’il faut invoquer, dont le long texte scandé (mode rétrospectif) inclut par exemple ces mots d’avertissement ou d’intimidation à l’adresse du Président Kennedy : « on te tuera sans aucun respect ».

Nous savons que l’affaire covid19 est américaine et qu’elle enveloppe un lourd passé-passif. 

Les méthodes gouvernementales inadmissibles de par le monde, à l’heure actuelle, sont d’obedience mafieuse : l’illegalisme comme tentation, soit le tout permis en vue (incluez tout l’odieux qui fait fi du consentement en général : vaccination, passe sanitaire,  rapports sexuels, mariage, éducation etc), poussez alors ou avancez  cette hypothèse : eux, EUX (les pays les plus visés pour leur fascisme etc., même aujourd’hui, sont : l’Allemagne, l’Autriche, l’Italie ; même Israël gouverné par un fou revient en arrière - pauvre bastion expérimental) ne reculent devant rien tant que rien ne les arrête.

JFKennedy parlait de complot users, de propagande,  « d’infiltration » c’est-a-dire de pénétration ou avancée silencieuse et secrète (ni vu ni connu) en des terres et des circonscriptions de tous ordres : corrompre ou faire accroire, instiller du poison mental par fausses informations mais pas que, par empiètements successifs (ce qui ne regarde pas les non-concernés...), la pratique de la fameuse « guérilla » également invoquée par le Présid