

Episode 2 : Bonne ou Mauvaise haBITude ?
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Episode 2 : Bonne ou Mauvaise haBITude ?
Chaque journée se déroulait de la même manière.
Nous nous levions uniquement quand la température intérieure de la tente devenait insoutenable, vers midi.
Ensuite, on se faisait un brunch improvisé afin d’éponger les excès de la veille et nous partions à la plage, pile au moment déconseillé, vers 14h.
Une fois installé sur la plage de Nau, nous passions l’après-midi à farnienter, jouer au beach volley, rigoler et surtout draguer…
Tout comme le rituel de la journée était désormais acté, notre programme de la soirée était aussi fidèlement suivi.
Vers 20h, nous quittions la plage afin de profiter des derniers rayons du soleil et de la tranquillité du lieu.
Nous allions ensuite prendre notre douche dans les blocs sanitaires presque déserts à cette heure tardive.
J’avais pris une vilaine habitude qui me faisait mieux endurer mon célibat. Prétextant l’oubli d’un gel douche, je prenais un peu de retard sur le groupe et suivais de loin Romain et Émilie afin de savoir dans quelle douche ils entreraient. En effet, ces copains coquins prenaient toujours leur douche ensemble, se réservant une cabine pour handicapés, bien plus spacieuse pour accueillir leur intimité.
J’arrivais ensuite, en silence, dans la douche voisine qui, comme par hasard, avait un défaut de construction. Entre les deux parois, on pouvait épier en toute discrétion, la cabine voisine. Encore aujourd’hui, je n’ai plus qu’à fermer les yeux pour retrouver l’excitation que j’éprouvais en abaissant le loquet doucement et en me synchronisant à leurs actions. Il fallait que je devienne leur ombre afin de ne pas éveiller les soupçons et surtout, qu’ils aient toujours l’impression d’être seuls. Je me déshabillais en silence en écoutant leurs discussions anodines sur la journée passée ou les commentaires acerbes d’Emilie sur l’attitude trop sexiste des 2 filles… Ils allumaient alors la douche et Emilie avait toujours ce petit cri aigu en sentant sur sa peau encore chaude, le premier jet d’eau froide. Là, je n’allumais pas encore la mienne, attendant que leur attention se focalise sur leurs envies. Nu comme un ver, une demie gaule dans la main, je me collais à la paroi pour découvrir la scène qui allait se jouer. Les premiers gestes étaient toujours les mêmes, comme une danse nuptiale avant l’accouplement. Ses cheveux naturellement frisés se raidissaient sous l’effet de l’eau et Emilie apparaissait alors différente, comme si c’était une autre femme.
C’est pourquoi je ne ressentais aucune gêne à les mater...
Emilie, avec son maillot vert à frou-frou, se jeta la première sous l’eau froide. Ses tétons pointèrent sous son micro haut de maillot. Romain avança alors une main et fit glisser les pièces de tissus sur la ficelle pour les positionner de chaque côté des seins. Là, sa belle et ferme poitrine apparut, blanche comme du lait, autour de son bronzage triangulaire. Romain resta encore hors de portée du jet d’eau, la regardant avec envie, son sexe déjà dressé. Elle le fixa alors droit dans les yeux et simultanément, prit les ficelles qui nouaient son bikini de chaque côté. Avec une lenteur infinie, elle tira sur les ficelles qui firent glisser le maillot entre ses jambes. Une mini chatte, mystérieusement bronzée, apparut alors, déjà mouillée par la douche et son émoi.
Dans ma cabine, je n’en menais pas large. Afin d’être résistant dans la durée, je choisis ce moment pour allumer ma douche, ce qui calma mes ardeurs au premier jet glacé. Quant à Romain, ce fut son déclic pour la rejoindre sous l’eau à présent bien chaude. Ensuite, ils avaient la soif et l’endurance de la jeunesse. Toujours debout, il la prenait, de face ou de dos selon son envie et il savait la pilonner comme elle aimait : c’est ça aussi l’avantage d’un couple qui dure. Une morsure dans le coup, un téton tiré, un clitoris excité et elle montait au 7ème ciel… mais toujours dans un râle étouffé.
Personne ne pouvait se douter de la scène qui était entrain de se dérouler en passant devant ces douches…
Et moi, la tête haute et la queue basse, je me dépêchais de me rhabiller en 4ème vitesse afin qu’ils ne découvrent jamais, leur spectateur caché...

