Demain, les villes arc-en-ciel...
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Demain, les villes arc-en-ciel...
Demain, les villes arc-en-ciel...
Un arc-en-ciel donnait de la couleur au ciel. Dehors une coccinelle, sur un des bleuets de mon balcon, elle m’observe, et je lui souris.
Parfois, mon grand-père venait me voir dans mon immeuble “agritectural”, de la verdure dans nos murs. Nous sommes le 8 mai 2100. Dehors, j’aime la présence des oiseaux, des moineaux, des corneilles, des pies qui sautillent, et le vol des goélands, majestueux, eux aux ailes puissantes... Ces oiseaux semblent si libres survolant mon étage. J’habite au 5 rue Dixmude de la ville de Brest, un estuaire, un port salutaire tournée vers l’énergie verte. Mon télescope me permet de voir le ballet des bateaux de commerce qui arpentent la rade et par le goulet entre chercher, des éoliennes géantes pour nos îlots d’énergie, les usines « marée motrice » vont en Chine, ils en raffolent plus que les ailes de Baleines un de leurs mets préférés. D’après celui-ci, mon aîné, c’est l’année de ma naissance en 2050 que le grand virage vert a eu lieu. Il me montre des tirages d’images argentiques, sa passion, la photographie. J’ai de la chance. Un petit peu de vent secoue les feuilles de mon aulne et ses feuilles jaunies par la présence du soleil, breton. Le laurier rose, je l’arrose, des bambous et de l’acajou que je taille en bonsaï. Dans le monde d’avant, l’humain a frisé l’extinction, la quinte de toux, le tout versus « pandémie internationale » et pollution, des mers, des fleuves et rivières, destructions de la forêt mère, celle d’Amazonie. Si l'on ajoute le désastre des millions d’hectares de forêts australe brûlées aussi et la vie sauvage qui s’éteint. Nous les enfants, de 2050, nous sommes chanceux, car notre génération lutte pour que notre Terre reste belle, et ceci dans tous les domaines, la vie humaine, celle animal, d’élevage, celle sauvage et aussi nous tenons à respirer, aspirer de l’air sans particule fine et vivre vieux. J’ai le temps d’aller voir les abeilles sur le toit plat de l’immeuble, ce jardin partagé, nous avons de tout pour faire un panier gourmand, patates, carottes, navets, salades, choux, des poireaux, et même un kiwi.
Hier, la ville se nommait la ville grise, détruite par les bombes en 1945, elle fut reconstruite très vite et il subsistait peu de maisons, d’époque. Or, nous, la génération de la transition écologique, vivons dans des immeubles hauts, pensés par des architectes afin de moins polluer notre espace et ainsi pouvoir respirer. Les immeubles sont autonomes en énergie. Des lampes leds ornent les murs et les balcons sont des murs végétaux pensés par des climatologues experts en réchauffement de l'air et dérèglement de la Nature. Aussi, maintenant, que le commun des mortels connait les bienfaits des nids d’abeilles sur la pollinisation, sur les fleurs qu’elles butinent, elles sont protégées. Fini, terminé, clôt la peur de l’extinction de cette espèce, tous propriétaires de nids d'abeilles. Je souris au vent porteur de bonne nouvelle, une génération dorée, et fière de l’être. Nous avons tous le nez dans le parfum des orchidées, des hortensias, des joncquilles, de la luzerne et les mains dans la noble terre. Agriculteur, un métier qui a le vent en poupe !
Je termine de récolter le miel de la vie, quand soudain, ma montre connectée m'annonce que mon grand-père est en bas devant ma porte, il tourne en rond. J’accepte le visiophone et mon grand-père, me souriant, porte toujours cet accoutrement sa pipe traditionnelle à la bouche, son bonnet bleu, assorti à son caban et un pantalon en toile de chanvre marron clair alors qu’il fait beau. Dehors, le soleil allume les leds de couleur orange ou clémentine pour moi. Mon choix, ces matériaux les leds dernières générations sont liées au soleil et le mur extérieur devient lumière d'intérieur et je n'ai plus qu'à régler le climatiseur afin de moduler le flux de chaleur. Ce bâtiment moderne est autonome en énergie, récolte de l'eau de pluie, l’ultra-violet du soleil, isolation qui rend nulle l'utilisation du chauffage. Tout est étudié minutieusement par ceux, possesseurs du génie Humain, étudiant la vie et ses contours, ingénieurs, architectes et pour que la Terre devienne un jardin, les paysagistes. Grâce aux leds, l'immeuble reste opaque d'extérieur et à l'intérieur laisse les rayons ultra-violet passer entre le philtre des nuages, des alto-Cyrus de ce jour, par exemple.
Quel bonheur de recevoir sa visite, alors, je lui ouvre la porte. Il possède le badge visiteur pour l’ascenseur et son piston hydraulique à air compressé, plus silencieux que ceux de son époque, juste un craquement en choisissant l’étage, l’air est aplatie par un piston et vous monter au septième ciel, mon numéro de pallier, le 15. Il arrive. Moi, je descends par l’escalier en bois de noyer, des arbres nobles que les industriels font pousser hors des villes, dans des bois, où les écosystèmes sont pensés, savamment pour leurs récoltes et minimiser l’impact sur le climat de notre région et de la France et de fil en aiguille, de l’Europe et de la planète. Le parc d’Armorique est rempli d’essence de bois à couper et aussi d’ arbres séculaires, tels que les chênes et les châtaigniers si chers à nos traditions Celtes. Nous sommes une vieille civilisation, nous les Bretons…
Descendant quatre à quatre les marches de l’escalier, j’ai envie de lui remonter le moral. Depuis peu, il est seul, ma grand-mère est partie flirter en compagnie des étoiles. Lui me dit qu’elle est une chèvre, dans un pré. Moi, je lui marmonne tendrement à l’oreille, que ma mamie est dragon de feu qui illumine l’univers de sa gentillesse. Toutes les nuits, elle guide les marins comme toi, papy. Quand j’arrive à mon étage, mon grand-père fait les quatre cent pas devant ma porte close, lui parle comme à son chien, Jason, et déjà, je lui souris, moi son petit-fils, fruit de sa fille, Carole. Dans mes mains, j’ai du thym et j’ouvre à distance, par mon empreinte vocale. Il m'entend dans ma descente infernale et il me sermonne, me disant de ne pas me casser un os pour une de ses rares visites…
Dehors, le taxi silencieux, à énergie hydrogène H2O, que l’on sépare dans une cuve rejette de l’eau chaude qui vole et construit une épaisse toile de nuages bas. Elles sont “écologiques” et moins destructrices de montagnes, qui collectent les métaux rares comme ceux nécessaires aux batteries des voitures, utilisant encore les ressources en métaux, tels que l’iridium, le platine, les “terre rare”, ou l’indium !
L’équilibre de la planète est ultime et si fragile selon grand-père. Déjà à son époque, quand le moteur à combustion et l’or noir, le pétrole avalait tout, les gens du Nord étaient plus riches, que ceux du Sud, qui nourrissaient les paniers gourmands de nos ancêtres, absorbant les particules fines dans des villes théâtres tel que celle Capitale, comme Paris, qui belle ville lumière, ne pouvait car l’épicentre, l’intra-muros comme il le dit est si ancien et si étroit que ses rues et ruelles ne pouvaient absorber le flux, le flot des allées et venues de tous. La population affluait en métro parisien ou pire en voiture quatre places, utilisées par un seul conducteur, ou camionnettes de livreurs. Et le ballet des camions quand Paris s’éveillait et les brasseries ouvraient leurs buvettes, avant de faire cuire œufs et bavettes de bœuf. C’était une aberration et une exaspération qui a failli faire que je ne vois pas le jour, moi qui ne suis pas aveugle, juste hypermétrope.
Panneaux photovoltaïques, sur le toit de taxis volant, mon grand-père trouvait cela rigolo, mais trop dangereux pour lui et il plaisantait sur les feux de croisement, tant la circulation est dense dans nos villes de ce futur qu’il ne pouvait deviner, plus jeune. A son époque, l’asphalte nourrissait les villes de chaleur et la télévision nationale, couplée aux informations d’internet ne pouvait lui donner cet accent positif. Souvent, il râlait. Je le trouve drôle, alors lui dis-je, que racontes-tu de beau aujourd’hui ? Pas de pluie radioactive sur nos têtes ? Regarde, un cargo, il entre dans le goulet c’est tout un spectacle, je te prépare une infusion, camomille ?
Mon grand-père hocha la tête, son menton mimant son acceptation de boire autre chose que le fruit de la vigne, son verre de vin à table, aussi une tradition qu’il refusait de lâcher !
Tu as mon petit, ce cargo affale sa voile, mais nom de Dieu, je ne comprends rien à leur voile, et l’énergie solaire des bateaux marchand ou de plaisance, et les navire de guerre c’est de la fusion nucléaire, je serais dans la rue pour que l’humanité ne fasse pas les mêmes erreurs que nous à mon époque. On était tous clivés sur notre “égocentrisme”. Notre bien-être dépendait de nos relations du cercle social, des proches. Et vous les jeunes, vous avez une vision de demain, une pensée globale, vous pensez, tous écosystème et les nouveaux métiers ont fleuri. Je me sens moi, capitaine au long cours, marin d’eau douce lorsque je vois un de ses géants des mers arrivant en rade de Brest. Il descend sa voile en si peu de temps, à la machine ça usine aussi, une unité de plus de deux-cent mètres, il lui en faut du temps pour stopper son potentiel d’inertie et tout le vent sur sa taule, cette voile de de Saint-Nazaire, les “Solidsails” comme vous dites, en fibres de carbone, je n’en ai entendu parler que en deux mille vingt-deux. Tu te rends compte quand, je vois les bateaux sans effet de serre, ce que c’est pour moi ! Nous, à la machine, le chef mécanicien et son équipe souffraient tant du choc de la mer, elle est puissante la mer, l’Océan et ses dérives, les successions de dépressions au baromètre de moins de huit cent soixante cinq millibars aussi. Vous, les nommaient tempêtes des ouragans, nous les anciens navigateurs comme moi, on en avait peur, tu comprends petit, tu as mis le chronomètre, ne le met pas aux nanosecondes. Reste pour que je calcule la différence avec nos bateaux polluants, au charbon, pour mon père, moi, au fuel, ou gasoil, des tonnes de litres pour avancer et vous le soleil, le vent, un vrai miracle. L’humain est bien malin, parfois. Son regard bleu nuit devient vague, il pense négatif, mais ne veux pas me dire ce fruit enseveli dans le secret du mot taire. Ce passé qu’il ne veut plus voir, et pourtant il s’agit de ses années d’homme mûr où il a mis au monde trois enfants et prié pour que la bêtise ne rafle pas la mise du jeu de la communication. Moi, j’aime quand il me parle du temps présent, je le laisse dire, je vis quasiment heureux, juste pas encore stable émotionnellement. J’ai une larme qui me vient à l’œil, tant de souffrance, de morts, de vies dans un enjeu simple, juste respirer de l’air, de la Nature !
Tandis que je pleure, il me parle des inventions du siècle, de ce sous-marin qu’un écrivain futuriste a inventé, Jules Vernes. Il me parle de l’omniscience de ce Léonard de Vinci, inventeur de l’hélicoptère. On utilise encore ce genre d’invention, mais plus les même énergies fossiles pour la propulsion, les pales, où les ailes tournent à l’air compressées, un système qui nous laisse pantois, une turbine à gaz, qui laisse s’échapper de l’air écrasé par un vérin hydraulique, pas trop ingénieur de formation, surtout moi qui suis plus tête en l’air que littéraire ou encore, mathématicien, je n’y comprends rien. Alors, je lance à la volée, c’est juste la loi de l’évolution, grand-père, rien de nouveau. Le tout est de limiter la casse et les accidents.Il me regardait, son œil devenait phare vert, un feu de joie, et sa sortie était la même : « Oui, je laisse tomber ! Allez donne-moi ta tisane et discutons terre à terre de ton futur. J’ai envie d’être arrière grand père et tu le sais ! Oh grand-père, je préfère que tu me parles de la révolution "agriculturale". Comment vous êtes sortis de la pandémie du covid19 ? Comment je peux être heureux, vivre ma vie, en voyant la vie sauvage sur nos écrans leds ? Ils remplacent vos téléviseurs, je le sais, tu m’en as parlé des conquêtes de la Lune, du premier pas sur cette planète satellite de la Terre, et nécessaire aux cycle des marées. Parle-moi de ton passé, tu es un véritable livre, grand-père. Lui, me tournait le dos, le fait de ne pas avoir d’enfant, ne le rendait pas heureux, c’est le tribu que j’accepte de payer pour que la vie humaine ne soit plus ridicule, que l'on soit fière d’être de ceux qui marchent sur Mars, et pas d’orgueilleux pirates de l’espace, des mangeurs d’espèces, des tueurs nés. 2070, une génération d’utopiste, de mondialiste et générateur de paix, comme le soleil et le vent, les arbres, sont nés pour que la fée électricité nous serve, et que ce confort, ne fasse pas des enfants meurtriers, ne les tue pas de labeurs dans des mines de terre rare, que nous ayons de la neige au nez de l’Everest, que la banquise soit réfrigérée par nous, les Humains, par des soufflerie d’air froid, pour conserver les deux pôles, le Nord, le Sud, l'Arctique et l'Antarctique. Et, pourquoi ses batailles sans sens pour nous sur cette notion de pouvoir, une fleur sur un terrain de football, c’est si beau, une pâquerettes, où celle dont je perds le nom la boule, sur laquelle on souffle et compte les pétales du vœux d’amour. Nous les jeunes de 2070, né en 2050, le temps de réaliser la transition énergétique, que l’Europe paie son tribut face aux invasions des navigateurs, tels que Coop et le voleur de la découverte de l’Amérique du Sud, ce Colomb, qui se perds, et plante un drapeau pour acquérir le territoire. Il plante sauvagement les femmes, hommes, et enfant de sa rage destructrice de conquistador. Un drapeau pour s’offrir la Lune, pareil sur Mars et qui ira nourrir l’astre Solaire de sa peau, car il nous éclaire et maintenant nous nourrit de sa présence sans meurtrir tous les sols. Et l’eau du ciel, la peur du déluge, nous l’avons eu nos fleuves, nos rivières en crues, vers le tournant de 2025, enfant, les pays unis sur le fait que l’urgence nécessite un climat plus pacifique dans les échanges entres nations. Nous avons conclu que les sports et les jeux étaient suffisants pour meubler le temps de tous ceux qui ont le patriotisme en pleine peau. Habitants de la Terre tous unis à la dernière seconde, les divers chefs d’État convoquaient à trouver un accord de longue durée pour la révolution verte, afin que l’on puisse respirer, boire, voir, et se couvrir d’un toit ; vivre quoi !
Le b-a ba de la vie, et le reste, arrivera souffla. Un vent de résistance violent et pacifique, d’objecteurs de conscience qui ne voulaient plus bouffer des « ogm », du soja dévoreur de forêts, de virus né de la fonte des glaciers en montagne et aux deux grands pôles antiques qui fondaient à la vue des marins et des explorateurs de ce monde dur et froid, sauvage, où la présence de pingouins, d’orques prédateurs, ainsi que des bébé albatros, sans oublier aussi l’ours blanc des neiges australe, et d’Arctique…
Les jeunes criaient, sur les réseaux sociaux, un dîner jusqu’à un accord, les grèves de la faim, pour ne pas suffoquer où subir les lois liberticides et demander aux génies civiles et militaire de tenir congrès et réfléchir à un système où chaque être fier de sa patrie puisse se voir dans un miroir sans être un vain narcisse, trouver les engins. Les plantes doivent nous sauver, la vie est faite d’amour, d’humour, et de tendresse chez tous les animaux, les arbres sont utiles, ils parlent par les racines ensemble, nous le savons tous mais pas que pour leur flamme verte. Autour d’un feu de cheminée, tant et tant la jeunesse se leva en un trait d’union, en un souffle commun, que les gouvernement, les dictatures s’unirent pour trouver un terrain d’entente et armer leur nations, les savants des sciences, politique, les sociologues, les anthropologues, les historiens, les philosophes cherchent, trouvent et vous messieurs, mesdames vous vous volaient pour l’argent, mais on ne le voit plus l’argent, les coffres forts des banques subirent des mouvements de fonds de particuliers sur les produits toxiques de la bourse, le risque que le château de paille bancaire, devient si vite un château de carte que d’un doigts tremblant fasse tomber fut là, mis en demeure par plus de six milliards d’habitants qui crièrent stop ! On ne vote plus, on voit que nous ne sommes pas nés sans oreilles, vous nous écoutez, nous observez, vous savez tous de nous de nos entités présentes dans nos logis, mais nous unis , nous sommes unis pour que les espèces vivantes comme la pluie, rigolent !
LE RIRE EST LE PROPRE DE L'HUMAIN ! Selon le dicton. Alors, allons vers une île paradisiaque à sauver, vers la Polynésie, et manger des truffes noires ou blanches, des pintades, et de l’esturgeon frais, mais restez auprès des peuples, ne soyez pas une tête de gondole à couper. Ne vous sentez pas roi, de quoi, d’un nid de vipère, d’un œuf pourri, d’un pays pollué et du système économique à repenser de A à Z. Nous pensons qu’au lieu de forer la calotte glaciaire, on peut donner de l’eau au désert, créer en bon père de famille des villes de paysagiste qui crée un écosystème naturel, mais construites et pensées par nos grosses têtes : les savants, plus de castes d'intellectuels qui se nourrissent des produits toxiques de nos inventions. Soyons des fourmis, tous unis pour sauver la planète. Utilisons les coups de foudre, pour diffuser cette énergie. Utilisons, le savoir ancestrale du paysan, du paysagiste et l’invention des génies pour créer des immeuble de lumière, bleu, vert, jaune, orange, selon votre goût. Ses appartements deviendront des puits de lumière du solaire et le reflet de la folle envie de vivre sans boire de l’air dans des canettes aseptisées. Bas les masques et vivons d’eau fraîche, truites, carpes, et anguilles. Ne jouez plus avec nos nerfs, peuple des forêts. Partagez vos savoirs pour que les peuples d’Asie, que l’Afrique ne soit pas une terre pillée de ses richesses pour les pays du Nord. Qu’ensemble, on ouvre les frontières, que les humains et peu importe, que leurs couleurs de peaux se mélangent et que comme Cro-Magnon et Néandertal, s’unissent par amour, par le goût du verbe de la belle parole, et prêche l’unité. Celui d’actualité en 2050, lors de ce regroupement de tous les citoyens pour que la planète Terre ou Gaïa vivent encore des milliards d’années. Après, nous penserons espace mais soyez peintre de la nature, potager potache et amateur de friandise, circuit court, et énergie du ciel en colère, la foudre, énergie de nos savoirs en molécule et de l’intelligence artificielle de nos robots, et ordinateurs. Ne soyons pas esclaves des androïdes, en un mot inventons ! Comme le dit si bien Voltaire dans ce livre culte, un classique scolaire “Candide” : citation “mais il faut cultiver notre jardin” !
Et ajoutons ce dernier mot, cette phrase, cette phase de rassemblement terrestre.
Cultivons nos terres pour créer un équilibre, un bon potager, fait d’eau et de terreau, et puis des arbres majuscules, et des plantes qui nourrissent notre faux écosystème, sans semer le doute dans nos esprits. Soyons bûcherons et bon paysagiste. Notre planète bleue a mal, et stop à l’ultra-consommation, non réfléchie. Oui, aux énergies solaires, et autre, le tout en s’oyant des êtres humains, bon penseur, utilisons tous nos mains vertes, pour que nos villes et nos villages subsistent, et que les annonces des journaux ne soient plus un tas de paroles négatives provoquant la peur et à se terrer dans nos abris, nos logis, ou la rue pour les vas nu pieds...
Il a fallu repenser l'énergie, les inventeurs mirent au point la voiture à hydrogène, les ingénieurs améliorent grandement les panneaux solaires, utilisés en maritime, en aérien, et sur les routes du monde. On respectait les quatre saisons de l'Europe moderne, revenues par miracle, plus d'achats de fruits exotiques non réfléchis et pourtant les camions circulaient, les bateaux affrétaient, les avions volaient. L’énergie solaire couplée à l'éolien fonctionnait si bien que nous, la nouvelle génération, nous sourions au quotidien !