J'emprunte cette image à un post sur FB vu hier, parce qu'elle est montre une posture. Et je ne sais pas pour vous, mais moi je trouve qu'il y a beaucoup mais alors beaucoup de monde(s) qui adoptent la même. De toute façon, de toute manière, nous savons que la guerre en Ukraine est une guerre qui a des années derrière elle c'est-à-dire qu'elle n'est pas nouvelle, qu'il s'agit juste d'un FOCUS mis ou projeté sur elle conformément aux tactiques américaines qui trahissent une fois de plus une sale affaire dont le corona virus (mot d'entrée qui dit pas mal de choses) autrement dit COVID19 (nom de code ou d'opération) est un NOM. Si ce liminaire textuel pouvait arrêter le chef d'Etat photographié de se prêter à un jeu malsain et grave (à supposer qu'il ne soit pas un otage, c'est-à-dire la victime d'un chantage), à une guerre dont les dommages collatéraux (il y en a déjà pas mal de par le Monde) sont déplorables.

Je continue ma conceptualisation de la CORRUPTION, au dessein d'ANTI-CORRUPTION en remarquant et en insistant sur le fait langagier que nous entendons plutôt parler en ce moment de plot - complot, machination - que de conspiracy - conspiration, qui met l'accent sur un réseau de complicités. Trump, le plus-jamais-Président-d'Etats-Unis, est en ligne de mire et ça fuse de tous les côtés. L'enjeu : son inculpation, sa condamnation. Ira, ira pas en cour de Justice pour y être traduit pour plus de 50 charges et pas des moindres ? Il n'y a aucune raison qu'il n'y aille pas, il DOIT y aller. La bataille politique fait rage et les Démocrates, via la protestation contre la fin d'un droit fondamental ou d'une liberté des femmes (mais qui concerne aussi les hommes) que les Républicains approuvent (reste à savoir si c'est en leur majorité partisane ou non), commencent à se mettre en ordre de bataille. C'est une CRISE OUVERTE, un moment de vérité à venir (qui se décante progressivement) que MSNBC ("Morning Joe") nommait récemment (on le lisait en fond de vidéo mise en ligne) "A time for choosing", insistant à juste titre sur la personnalité d'un Ex Locataire de la Maison Blanche (pas de l'Elysée) sous le titre : "Liz Cheney Delivers Searing Rebuke of 'Dangerous And Irrational' Trump During Speech". Le mordant journaliste, pédagogue également, de la même chaîne (Ari Melber, émission "The Beat" du 30 juin dernier soit le même jour) parlait d'un Donald Trump "délirant" dans la mesure où il était au courant que des gens armés allaient investir le Capitole, que la police et les services secrets avaient fait leurs devoirs, et que le témoignage capital (courageux) de Cassidy Hutchison allait lourdement peser dans la balance judicatoire. L'arrogance du pouvoir suffisait, digne d'une mentalité de gangsters (je traduis). Et, ce qui m'intéresse, c'est que ce jour-là d'informations (pas de fake, ça c'est l'ère trumpiste et c'est aussi le fait de tous les escrocs et esprits corrompus aux manoeuvres, de toutes les mafias etc.), nous apprenions - disons que c'était dit, mais nous le savions - que la fameuse pandémie relevait d'une Conspiracy Theory. Autrement dit, et c'est mon commentaire, a été déclenchée (car c'est une supercherie, un mensonge sanitaire éhonté - a big lie) une peur panique mondiale pour mettre au pas ce que nous pouvons appeler des CIBLES. Car, et c'est l'un des noeuds de cette affair