"une femme ne sait pas ce que c'est que la guerre" (Homère, Iliade, VII, 236)

Il m'étonnerait que le Barde célèbre - et existe-t-il des bardes (pas des poètes) qui ne soient pas propagandistes ? - ait posé ce genre d'affirmation sans se placer en surplomb pour mieux prédire la défaite des femmes, en l'occurrence celle de ces Amazones que déteste l'Iliade ? Car ne pas savoir ce qu'est la guerre revient à la perdre à tous les coups. Pas si tranquille que ça l'énoncé homérique, dans un long récit qui conjure, par représentation de pierres tombales ou tombeaux (tumulus par exemple), la pratique guerrière ainsi que l'héroïsme (car l'équivalence alors prévaut ! ) du sexe féminin c'est-à-dire qui conjure un AVANT (une origine) dont il ne faut plus entendre parler. Beau parallèle avec la situation actuelle qui dénigre toute scientificité et toute pensée, invente un NARRATIVE (récit) qui est non seulement un mythe mais un conte pour enfants, et encore pour demeurés.

Remarquez, cet énoncé viriliste (celui d'Homère, mis en exergue) n'est pas à la gloire du Sexe (sa majesté ?) qui se voudrait supérieur et, qui plus est, qui le voudrait - et le croirait - en pratiquant la guerre à lui seul. La guerre est si belle, n'est-ce pas ? Tout le monde en convient; tout le monde aime ça, non ? Franchement! Mais les criminels de guerre, on ne les punit pas maintenant ? Apparemment non, puisque Julian Assange, lui, croupit en prison pour un nombre hallucinant d'années : le fondateur de "Wikileaks", un journaliste !

Mais bon, pour revenir au patriarcat grec antique, le point est bien de faire entrer dans les crânes, d'alléguer et d'officialiser l'idée que les femmes ne font pas la guerre, qu'elles ne savent pas ce que c'est, qu'elle ne sont qu'un butin (trophées, coupes etc.) c'est-à-dire des objets ou prises dans un espace qu'on appellera pour le dire vite "champ de bataille". Amour toujours ! Inversion toute ! Ils barrent...

"En ces temps épiques", les nôtres, une PROPAGANDE INTERNATIONALE force tout le monde à croire en l'existence d'un dangereux virus pandémique - CORONAVIRUS - ; cette formule qui évoque l'épos (formule récemment lue dans "The Defender") est on ne peut plus juste : en PLEINE GUERRE de trône(s), de COURONNE(s), de Souveraineté, de principauté, d'âge, d'intelligence(s) - la Lumière naturelle de l'entendement humain contre l'intrigue artificielle d'une CIA avec son obession du contrôle mental (mind control) -, de sexualité (hétérosexualisation dans une épopée revivifiée qui est et n'est qu'homosexuation, homosexualité (inversion) si vous vous voulez : "Patrocle aime tellement Achille etc.), sans parler de moeurs romaines réaménagées aujourd'hui si l'on suit diverses investigations (pas seulement d'un David Icke, pour qui voudrait encore dénoncer des "conspirationnistes" et puis ?), etc: la thématique pédophilique hante leur récit, et le charges d'incupation finiront par tomber. C'est pas