

NO PROSY VERSE
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NO PROSY VERSE
I
Ce ne sont pas des chants qui soufflent dans ma tête
Là-bas la cathédrale où les enfants survivent
Où l'enfance s'aggrave
Et la mer septuor encore plus loin résonne et vit au vent
L’algue des lames gicle et sonne en Osiris
L’azur pédotribe recouvert de sulfates qui volent en été, jaunes sous les branchages, dans le cri des cigales aimant à déchirure, le mimosa s’évapore et la main recueille en vitre les buées élégiaques et le souffle des pétales
Le monde quadrillé aux carreaux des fenêtres
Monte les courants bleus jusqu’au prisme nocturne diésé comme un couteau
Banquise de lumière, la lune se brise et ses bris assombris s’abritent, au gré des bruits
II
Un homme portait un chat
Dont la tête sortait à peine
D’un sac
Ou d’une outre
Qui


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