« De notre passage,

il ne restera rien.

Si ce n’est le bien

dont on fera usage. »

( oui, je change déjà d’avis sur la formulation … 🤪) 

« L’esprit des jeux donne à voir l’humanité dans ce qu’elle a de plus beau… », a-t-il dit à peu près en substance … 

Et cela m’a bouleversée. 

Parce que j’ai ressenti la quintessence de ce qui se disait de si juste, derrière les formalités formatées de bons sentiments protocolaires.

Le dépassement de soi, oui, mais au-delà de soi.

Au-delà d’une nation. 

Au-delà même de plusieurs nations réunies. 

Le dépassement de soi pour enfiler son kimono d’humain.e en recherche d’un « pourquoi » : nous, pauvres hères parachutés ici sur terre, mais non sans ressources - le corps et la psyché alertes. En mouvement. 

Et en recherche d’un « pourquoi pas », en tendant à vivre mieux ainsi ensemble, ce lancinant « pourquoi » prédateur de nos angoisses, par l’invention d’un heureux temps de communion. 

Mais déjà, commencer par se souvenir qu’au-delà de la performance qui fera date et de la compétition fair-play qui adoucit nos moeurs, nous sommes les mêmes. 

Peut-être d’ailleurs notre corps s’en souvient-il plus vite que notre raison ? Et que lorsque notre colonne vertébrale s’aligne sur beaucoup d’autres colonnes vertébrales, l’on expérimente que tout le monde peut trouver sa place. 

>>>> https://youtube.com/shorts/XI5bWKTIEkE?si=Gkrr3vm2BiGNQaVV ≤≤≤≤≤

Mais si l’on songeait déjà au moins à «  s’𝕆lympiser » au quotidien, en respectant son prochain, en badigeonnant nos actes de bienveillance, comme on en est capable lorsque le monde entier a les yeux rivés sur l’exemplarité télévisée, ce serait déjà un joli pas sur le tatami de l’humanité échevelée d’antagonismes.🌟