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Parti sur le challenge fait avec un collègue de travail, je devais écrire une histoire courte qui placerait la décadence de monde humain et laisserai place au monde animal. 

Voici le résultat : 

Notre avenir : 

Je n’en reviens toujours pas et pourtant …

J’ai connu ce monde il y a plus de 100 ans et je n’arrive pas, pour autant, à oublier ce qu’il c’est passé. Toutes ces vies perdues, tous ces splendides monuments, datant de l’âge de l’homme pour certain. De véritable trésors culturels qui ne feront plus brillés leur existence. Je ne peux m’empêcher de me sentir lâche fasse à ce que l’humanité à subit, fasse à ce qu’elle a engendré, car je n’ai jamais été acteur d’une quelconque action pour améliorer cela.

Tous ceci commença par le phénomène de surpopulation. Les cerveaux de notre société, ces scientifiques aussi fiers qu’un coq en pleine parade nuptiale, l’avaient pourtant clamé haut et fort : L’humanité court à sa perte si elle ne réagit pas.

Mais, le soucis avec les coq qui chantent trop tôt le matin, c’est qu’ils dérangent.

La croissance, voilà ce qui était menacée par leurs messages. Voilà ce que le monde de l’argent ne voulait entendre. Voilà pourquoi rien ne changea, à part que notre planète se raréfia de toutes ressources, dont la véritable intelligence. Quelques partisans de la nature tentèrent en vain de les ramener à la raison, de revenir vers une terre nourricière et abondante, par le respect du cycle de la vie. Mais rien n’y fit. Une poignée d’Homme n’était pas suffisant.

Est-ce une bénédiction ou un grand malheur si les trois quart de l’humanité furent rasés par une multitude de virus, qui enclenchèrent une succession de guerre, de récession économique. Puis une pénurie des ressources naturelles finit par achever le tout. La grande épopée de l’humanité devait arriver à son terme. La Terre venait prendre sa plus belle revanche. Elle, mère de toute vie. Mais, elle prit seulement au fouteur de trouble. A ceux qui avaient tout saccagé, tout réduit en cendres des siècles de cycle de vie où tout semblait être en harmonie, en équilibre. Un équilibre que l’humanité rompit en quelques centaines d’années. Comme disaient certains sages de leur vivant, il est plus facile de détruire que de construire. L'un étant plus facile que l’autre et il était bien connu que l’homme avait un penchant pour la facilité.

Je suis dans les derniers survivants et mon âme est bientôt prête à quitter ce corps bien fatigué. Mais, malgré tout, je partirais avec le sourire, car, en cet instant, la vision de ce monde me ravit. Nos maisons ne sont plus, nos usines non plus. Nos cracheuses de gaz empoisonné encore moins. Tout ce qui nous était utile au quotidien pour notre confort fait parti d’un énorme cimetière de métal et de roche. Mais, ici, sur ces terres où notre famille pu prendre refuge, le cycle se refait. Les animaux reprennent leur territoire si longtemps occupé. La nature, comme dit si bien le dicton, à repris ces droits. Se fut brutal, se fut violent, mais, telle une mère qui revendique le respect, elle montra la puissance de sa volonté de vivre.