Vaccinations : alors, CONVAINCU ? Les deux mon général !
Auf Panodyssey kannst du bis zu 10 Veröffentlichungen im Monat lesen ohne dich anmelden zu müssen. Viel Spaß mit 9 articles beim Entdecken.
Um unbegrenzten Zugang zu bekommen, logge dich ein oder erstelle kostenlos ein Konto über den Link unten.
Einloggen
Vaccinations : alors, CONVAINCU ? Les deux mon général !
Politique et santé, ou rien que science-fiction ?
J'ai basculé lâchement dans le clan des vaccinés car prenant souvent l'avion, ce précieux sésame que deviendra le pass-sanitaire me serait indispensable. Mais je commence à le regretter et de plus en plus à m'interroger sur cet irréversible choix shakespearien "d'être ou de paraître".
En 2015 sous le pseudo de Bernard Vigneron, j'ai choisi d'endosser la cape de héros du pamphlétaire des temps-modernes -bien trop large pour mes épaules- , que je comptais bien ressusciter de ses cendres car il est dans ma nature de bon français de râler, souvent sans raison probante, mais pour bien montrer que tout ne vas pas si bien que ça en notre ex beau-pays de France.
Au 19° siècle le pamphlétaire, pour ne pas mourir trop jeune, se planquait timidement sous le masque d'un pseudonyme pour crier son mal-être et surtout celui de tous les taiseux, qui par peur des conséquences se terraient dans leur absence de dignité. Il a été supplanté au 20° par toute une génération de chansonniers qui m'ont éveillé, avec comme seule arme l'humour, à la révolte passive celle qui n'a comme seule arme que la volonté de convaincre sans trop vouloir le montrer, disons en déconnant ; une vague d'héroïsme noyée dans une mer de lâcheté...
Tout ça pour ça. Non je n'ai pas de véritable scoop à vous livrer si ce n'est que je commence à me poser ces questions :
Pourquoi subitement et sans crier gare, une horde avant-hier, une masse hier et des centaines de milliers de français aujourd'hui se lèvent vent-debout contre une éventuelle vaccination obligée, et pourquoi en retour autant de hargne nimbée de bassesses de la part du gouvernement ? Oui pourquoi ? Qu'ont-ils à y gagner, qu'ont-ils à y perdre? Et pourquoi ceux qui n'ont rien à gagner sont-ils prêts à perdre leur emploi contre la sécurité de se faire vacciner ?
Vous avez-dit absurde ?
Non, sauf si eux aussi savaient et se taisaient et le manifestent soudainement. Car dans leurs rangs une théorie du complot circule sous le manteau de la peur et commence à prendre de l'écho ; celle que nous braves gens disciplinés, nous les sachants car nous les vaccinés ; avons balayée d'un revers de main en criant : absurde, ce n'est pas possible !
Même si "impossible n'est pas français" il se dit toujours sous le manteau qu'un groupe mondial de décideurs -industriels et surtout politiques dont une douzaine de compatriotes (un décideur et dix sous-fifres pour ce qui concerne la France) dont les noms circulent sans trop les chercher sur le net-, aurait contribué à développer en France à partir de 2003, un virus artificiel nommé SARS COV1 puis COV2 en 2011/2012 destiné à faire vendre des milliards de vaccins. Le made-in-France de retour, quelle fierté pour le pays ! Mais ô miracle alors qu'il fallait de mémoires de chercheurs 6 ans pour créer un antidote à un virus, voilà qu'en moins de 2 ans le vaccin était découvert et déjà empaqueté. Business is business ! Facile quand un virus somnole dans la torpeur d'un labo parisien depuis plus de 5 ans !
Les plus documentés vous diront que dès 2012 le génome de la Malaria lui sera séquencé et que dans une seconde étape en 2015 on lui adjoindra celui du SIDA... Histoire de nous immuniser contre ces deux fléaux alors qu'on n'a rien demandé d'autre que de vivre !
Et ce serait-là le "produit-miracle" qu'on nous a instillé dans cette épaule que l'on a un jour vaillamment dénudée en baissant les bras...
Bien trop absurde ! Et pour quelles conséquences?
Mais à avoir à prendre des médicaments à vie bonnes gens, tout simplement !
Le ver était-il dans la paume de la main qui nous a été tendue ? Le prompt avenir nous le dira, en dernier cas avant les présidentielles !
Mais tout ça, ce n'est que des on-dit. Moi, je ne sais plus...
Ce pamphlet des pamphlets est signé de Bernard Ducosson