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Le plaisir - House Of Love - The State of Grace - 2022

Le plaisir - House Of Love - The State of Grace - 2022

Veröffentlicht am 3, Nov., 2022 Aktualisiert am 3, Nov., 2022 Musik
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Le plaisir - House Of Love - The State of Grace - 2022

Pour moi, la maison de l'amour, je l'ai monté d'un étage l'autre, d'un disque l'autre, et l'album papillonnant, pochette "butterfly", de 1990, au titre éponyme House Of Love,  oui, bien sûr,  mais, et le coffret qui est sorti il y a quelques moi - The House Of Love - Burn Down The World: The Fontana Years 1989-1993[ 8CDs] [2022] -

l'a bien montré, Guy Chadwick a toujours eu des morceaux incroyables, même au détour d'une face, Spy in the house of Love le démontrait bien. Je n'oublie pas le premier de 1988 avec notamment Shine On, période Creation qui, comme dirait, Serge G, n'était pas dégueulasse...

Alors ce dernier album ? Verdict : L'état de grâce est atteint sur déjà trois titres...

Le pic épique qui ouvre l'album, sublime titre que voilà Sweet Loser, puis Into The Laughter, du pur House of Love, In My Mind itou.

Dans certains commentaires que j'ai pu lire ici ou là est évoqué Primal Scream, période rock, je l'entends sur "Dice are Rolling" et je suis bien d'accord, mais Guy, même en nous livrant son album le plus américain continue, je l'imagine, à scruter toujours et encore le fog londonien, car il y a là, bel et bien, nichés au creux des sillons, dans ces creux, ces bosses, cette mélancolie british si particulière et que Guy sait si bien exprimer en ce chant qui conserve une sensualité propre, toujours aussi unique, il n'y a vraiment que lui pour chanter ainsi.

Et dans le final, "Just One More Song", il nous abandonne dans les lacis d'une musique délicieusement countrysante, avec un violon qui s'y glisse peu à peu jusqu'au final , "un cœur qui tourne au bleu" chante-t-il oui, le cœur est bien présent, au cœur de cette maison de l'amour, dont, je le sens je vais continuer à explorer chaque étage, tant ses recoins que les placards nichés au fond des pièces, dans cet espace, y réside un parfum bien particulier, léger et  à d'autres moments les effluves moirés et denses remontent et s'imposent, entrainant en cet air une essence plus lourde pareille au musc, Chadwick livre ici, je trouve, un album digne... et surtout surprenant dans le contexte musical actuel. On sent qu'il a pris beaucoup de plaisir à le réaliser et cela s'entend vraiment, entrainant pour nous le plaisir de continuer à remettre l'album et de l'écouter à nouveau. 

Pour l'écouter c'est ici

Photo de couverture : @ Bertrand Bosrédon

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