

Sylviane, consultante (#48)
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Sylviane, consultante (#48)
CHRONIQUE DU TRAVAIL DÉCONFINÉ
« Nous montons des projets internationaux. Nous voyageons beaucoup. Le confinement a eu pour conséquence l’arrêt de tous ces voyages. Nous avons pu travailler en visioconférence : c’est moins efficace pour lancer de nouveaux projets, surtout avec des partenaires qu’on ne connait pas.
Pendant le confinement, nous avons participé gratuitement à un projet visant à financer des assistants respiratoires pour un coût unitaire inférieur à 1000 euros. Le projet nous avait été proposé par une startup à Nantes qu’on connaissait. Cela a duré deux mois. Nous avons monté un consortium à distance avec 125 partenaires.
Je suis habituée à travailler de chez moi. Le confinement n’a pas changé ma méthode de travail. En revanche, mon assistant était moins disponible en télétravail : il était plus difficile à joindre, ce qui n’était pas toujours pratique.
En parallèle, je suis sculptrice. La fonderie ayant fermé, j’ai dû arrêter cette activité. Cela ne m’a pas gêné car j’ai pu en profiter pour écrire un livre. »

