Je l’aurais bien commenté le 8 mars dernier, mais j’ai pensé que le texte que j’ai choisi pour honorer les femmes était plus puissant.

Néanmoins, je n’oubliais pas ce livre paru en 2013 mais que je n’ai lu qu’en mars 2020.

C’est le seul, pour l’instant que j’ai lu de cette autrice, Alice Ferney.

Je ne sais pas synthétiser un livre, je peux juste exprimer mon sentiment.

Photo4°decouverture.

« ...est un livre captivant... », je confirme avoir été captivé, mais surtout subjugué page 537 par l’imagination d’un instant tragique/sublime : la mort de l’héroïne en douceur en dormant, tuée par une émotion incontrôlable en rêvant la disparition de son ex époux qu’elle aime toujours après le divorce. Marianne est morte d’un amour trop pur pour Serge qui vraiment ne le méritait pas.

Tant pis si je révèle ce dénouement, il mérite un HOMMAGE qui n’enlève rien à la force de l’ensemble du roman. Il me permet d’affirmer mon sentiment que l’amour d’une femme sera toujours plus beau que celui d’un homme.

Dans la pratique des recherches généalogiques, j’ai trouvé dans les BMS du XVIII° et NMD du XIX° de très nombreux décès de jeunes femmes lors des accouchements ou juste après une naissance. Est-ce qu’un homme qui donne son amour le fait au péril de sa vie ?