Je ne me souviens pas exactement de ce que disait à juste titre Edward Snowden, mais cela ressemblait à ceci : dans un monde où le mensonge domine ou est la loi (de propagande), la personne qui dit la vérité n'est pas crue (elle est soit marginalisée, isolée, déclarée folle etc etc.). Le MONDE qui est en train de s'effondrer - les USA face à eux-mêmes, les Américains sauront voir -, et de le faire en douceur, est celui du MENSONGE, ou plutôt d'un MENSONGE dont la fin sera actée dès que l'opération Corona virus - COVID19 est son nom de code - sera démontée et l'escroquerie débusquée etc. La GUERRE DES SECRETS - VRAIS et FAUX -, cette guerre-là (l'obsession du secret c'est-à-dire du contrôle qui donnerait du pouvoir), se pratique en effet dans un monde fait de fake. Big Tech n'est que l'exploitation de cette gigantesque entreprise de falsification. Cela me donne l'occasion de poursuivre sur ce que dit et a déclaré ce lanceur d'alerte parti des Etats-Unis et exilé en Russie. Dans l'une de ses interviews sur l'Internet, il dit avoir alerté le Canada ; cet Etat, de par son chef, a donc obéi à l'Etat américain et le diktat (auquel il a fini par renoncer) de bloquer les comptes bancaires etc. et de déclencher le plan d'état d'urgence a suivi ses ordres. C'est notamment dans un entretien "The 11th Hour-exclusive" qu'il rappelle qu'est fondamental le droit de donner ou non son accord (ce qui suppose qu'on vous le demande, c'est le problème du consentement dont voulait se débarrasser l'obligation vaccinale au mépris du code de Nuremberg), et que la fameuse National Security n'est en réalité, en vérité, que la sécurité assurée du système et non des citoyens ni de l'intérêt collectif. La toxicité des Deep Staters s'en ressent; Snowden invoque le sentiment (feeling) dont nous ne devons pas nous départir (sensibilité humaine), par exemple avec l'imposition de CAMISOLES de force CHIMIQUES. L'enjeu, et s'en ressent également l'image d'un Donald Trump (homme qui ne connaît que le marchandage), concerne justement la privacy parce que son espionnage, illégal et/ou inconstitutionnel, sape précisément les fondements de la démocratie. Il parle du modèle inquiétant pour ce régime de l'égalité des droits et des libertés qu'est le hacking, individuel ou étatique (CIA, Agency's attacks) puisqu'il collecte des données (data) qu'il peut exploiter et revendre etc. La solution passera par la sécurisation de la technologie et la protection de ce qui est confidentiel. pour pallier le crime de spyware.

Pourquoi ce préalable ? Parce qu'il aide à conceptualiser le pire des crimes (the worst crime) comme crime d'Etat (State crime) avec tous les abus possibles et imaginables (que peuvent faciliter les départements de services secrets ou le service des renseignements, les services de police etc.), soit celui de la CORRUPTION systématisée (generalized crime) qui concerne n'importe quel crime dès lors qu'il est commandité et pratiqué depuis le sommet du pouvoir en place ou p