Glückwunsch! Deine Unterstützung wurde an den Autor gesendet
Lourder : être mis à la porte.

Lourder : être mis à la porte.

Veröffentlicht am 3, Nov., 2023 Aktualisiert am 3, Nov., 2023 Kultur
time 2 min
1
Liebe ich
0
Solidarität
0
Wow
thumb Kommentar
lecture Lesezeit
3
Reaktion

Auf Panodyssey kannst du bis zu 30 Veröffentlichungen im Monat lesen ohne dich anmelden zu müssen. Viel Spaß mit 29 articles beim Entdecken.

Um unbegrenzten Zugang zu bekommen, logge dich ein oder erstelle kostenlos ein Konto über den Link unten. Einloggen

Lourder : être mis à la porte.

Ce mot sonna fort dans ma tête lorsque je découvris la signification. Des souvenirs remontèrent à la surface presque trente ans auparavant. 

J'avais quitté un cercle d'amis, une ville, un foyer qui était mon cocon. 

J'étais dans une petite bourgade, je recommençais tout à zéro. Une nouvelle adaptation, de nouvelles têtes et je devais tourner la page d'une histoire douleureuse et encore fraîche dans mon cœur. 

Se retrouver en cohabitation avec deux inconnues, j'ignorais que j'avais en face d'eux fauchetonnes. 

Pas vraiment d'endroit pour manger ensemble, la chambre servait pour ça aussi. 

Un soir sans crier gare, on frappa à ma porte pour me convoquer avec la propriétaire.

Mes collègues colocataires étaient près de la propriétaire. 

J'étais seule face à mon destin.

Sans aucun ménagement, sur un ton dur et d'une manière brutale, elle m'annonça que j'étais virée de mon logement.

Je devais quitter les lieux avant le mois de décembre. 

Je ne  communiquais pas avec les autres .

Elle me salissait, j'étais encore plus crade que mon corps.

L'effet d'un tremblement de terre dans tout mon être, je me sentais mal. 

Je ne pouvais pas me défendre, je n'avais qu'une envie : disparaître de la surface de la terre et d'elles.

J'étais terrassée par la honte. 

Je ne voulais pas leur offrir mes larmes ni mon mal être.

Je n'avais pas fait mon deuil de mes échecs sentimentaux ni professionnel.

C'était difficile à encaisser, j'étais asommée. 

Lorsqu'elle eut terminer, je ne tardai pas avec elles. 

Le seul réconfort, c'était mes parents. 

Je n'étais pas à l'aise de leur dévoiler sur ma dernière déconvenue. 

Je ne désirais plus rester au risque d'arrêter mes études sur je ne trouvais pas un autre lieu pour dormir.

Mes parents se déplacèrent dès le lendemain, c'était un vendredi.

Un foyer d'étudiantes  accepta de me prendre.

Dès le samedi, je déménageais.

Les propriétaires ne s'attendaient pas à un départ si rapide.  

Je n'allais pas me coltiner deux hypocrites.

 

 

 

 

lecture 106 Aufrufe
thumb Kommentar
3
Reaktion

Kommentar (0)

Dir gefallen die Artikel von Panodyssey?
Unterstütze die freien Autoren!

Die Reise durch dieses Themengebiet verlängern Kultur
Hébreu
Hébreu

Un mot d'un dictionnaire, ma définition, votre sourire, ma joie.

Bernard Ducosson
1 min

donate Du kannst deine Lieblingsautoren unterstützen

promo

Télécharge l'application mobile Panodyssey