Congratulazioni! Il tuo sostegno è stato inviato con successo all'autore
avatar
2 8 SEPTEMBRE 1944, UN PORT S'EMBRASE, UNE VILLE PLEURE...  LE SEPTIÈME CIEL

2 8 SEPTEMBRE 1944, UN PORT S'EMBRASE, UNE VILLE PLEURE...  LE SEPTIÈME CIEL

Pubblicato 19 lug 2022 Aggiornato 19 lug 2022 Curiosità
time 6 min
0
Adoro
0
Solidarietà
0
Wow
thumb commento
lecture lettura
0
reazione

Non puoi leggere altre pubblicazioni questo mese senza aver effettuato il login.

Per sfruttare appieno le nuove funzionalità, accedi o crea un account facendo clic qui sotto: è gratis! Accedi

2 8 SEPTEMBRE 1944, UN PORT S'EMBRASE, UNE VILLE PLEURE...  LE SEPTIÈME CIEL

Le commandant flâne sous la Girafe, Persée, cherchant le dragon qui se cache derrière la petite Ourse et une pluie dévore le ciel, éclairé par un demi-Clair de lune, parsemé de bruits d’hélices, un supplice. Malgré ce qui est devenu une habitude, l'air manque ce soir-là, une impression, un regard vers l’oiseau de fer, il plane, pas cette étrange pluie devenue incessante, les avions volent et déchirent les nuages et délivrent des plaies aux murs, à l’enceinte du port tant convoité. Brest

pleure. Nous sommes bien entre le 8 et le 9 septembre 1944, quand l’abri fait pour protéger les gens de la ville, une pensée solidaire, celle de creuser un tunnel de la porte Tourville à la place Sadi-Carnot 560 mètres nés pour protéger les ‘non-militaire’. Dans cette satanée guerre, ce sont des civils d’horizons divers pour la plupart évacués par un deal de la ville. Le 7 août 1944, les tanks des forces alliés font le siège à Milizac. 

Alors, il ne reste sur place, dans cette place fort parsemée de chauve-souris, de munitions, ainsi que des gens des services administratifs, des Allemands et quelques personnes de bonnes foies qui perdus sous les bombes alliées s’abritent… de la masse de fer et de sang... 

Comme il pleure de la lumière incandescente, descente de fer qui plombe la ville du Ponant, la ville brûle. Un début de réponse ? 

Nuage, poussières, l’odeur de chair, l’explosion, conflagration, embrasement, le mal de crâne, et la rue morte, déserte, reste l’escalier, l’abri Sadi Carnot vient de sauter. Oups, une étincelle et plus rien, plus de fleurs... 

Disparue la Bétoine de mademoiselle Rose, son lotissement de chèvrefeuille, envoyé promené le Lotier corniculé, aplati le millepertuis, et j’en passe de peur que l’odeur pestilentielle de la viande ne se recommande.

Le commandant avait eu le nez fin, il s’était évaporé comme un soupçon d’alcool dans l’azote, envolé tel un macareux qui cherche son nid. Cet homme sombre avait pris la poudre d’escampette sur le chemin des alouettes quand d’autres connurent le grand virage, pire qu’un nauf

Questo è un articolo Prime

Per accedervi, iscriviti alla Creative Room Au gré de mes humeurs di Jean-François Joubert

Vantaggi dell'iscrizione:

check

Accesso completo a contenuti esclusivi e archivi

check

Accesso preferenziale a futuri contenuti

check

Commenta le pubblicazioni dell'autore e unisciti alla sua community

check

Ricevi una notifica per ogni nuovo articolo

Iscriversi significa sostenere un autore a lungo termine

Iscriviti alla Creative Room
lecture 399 letture
thumb commento
0
reazione

Non puoi leggere altre pubblicazioni questo mese senza aver effettuato il login.

Per sfruttare appieno le nuove funzionalità, accedi o crea un account facendo clic qui sotto: è gratis! Accedi

Le bloc commentaire est réservé aux abonnés.

Iscriversi significa sostenere un autore a lungo termine

Iscriviti alla Creative Room

Puoi sostenere i tuoi scrittori indipendenti preferiti donando loro

Proseguire l'esplorazione dell'universo Curiosità
Marche féerique aux lampions
Marche féerique aux lampions

La traditionnelle Rando de Noël, organisée par le Comité de Randonnée Pédestre de Loire-Atlantique, revient pour sa 24e édit...

Oren Le Conteur
1 min

donate Puoi sostenere i tuoi scrittori preferiti

promo

Download the Panodyssey mobile app