Comme vous avez déjà pu le constater si vous me suivez depuis peu sur Panodyssey ou depuis plus longtemps sur d'autres  plateformes de microblogging, je suis un touche-à-tout en matière de sujets photographiques. En matière de tout autre sujet d'ailleurs, mais c'est une autre histoire, ne disgressons pas. Et si vous êtes un tant soit peu observateur, vous aurez constaté que les photos de spectacles, notamment de concerts sont celles que j'affectionne le plus.

Depuis presque 20 ans (déjà !) je couvre le festival des Vieilles Charrues à Carhaix, centre Finistère et depuis quelques autres années, le Hellfest, festival de musique metal, à Clisson.  Et ponctuellement, des concerts, spectacles et autres festivals autour de moi.

Voici donc une nouvelle fournée, issue du Hellfest 2018, avec Arch Enemy,  groupe de death metal mélodique suédois, avec la très photogénique Alissa White-Gluz au chant.

- Texte de présentation du site du Hellfest  - Le temps passe, les temps changent mais il demeure des choses qui restent constantes et imparables. La musique metal a subi moult assauts depuis ses quatre décennies d’existence et peu de groupes incarnent avec aplomb et sans contestation possible l’intensité, l’intégrité et l’ambition que requiert sa création et son interprétation. Fondé en Suède au milieu des années 90 par le six-cordiste Michael Amott, ARCH ENEMY en est un de ses joyaux. Explosif, efficace, irrésistible et perpétuellement tiré vers le haut par sa soif d’en découdre et de combler ses fans, rien ne semble pouvoir l’arrêter dans sa progression. Et on ne trouvera pas grand-monde pour s’en plaindre lors de ce Hellfest. 

Arch Enemy– Photo © Éric Pollet

Arch Enemy– Photo © Éric Pollet

Arch Enemy– Photo © Éric Pollet

Arch Enemy– Photo © Éric Pollet

Arch Enemy– Photo © Éric Pollet

Arch Enemy– Photo © Éric Pollet

Arch Enemy– Photo © Éric Pollet

Arch Enemy– Photo © Éric Pollet