Laëtitia GAND
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Laëtitia GAND
Auteure, critique littéraire, Laëtitia Gand est née le mercredi 9 mai 1979 à Neufchâteau dans les Vosges (88).
Issue d’une famille d’ouvriers, elle a très tôt pris goût au monde de la littérature, de l’imagination et des histoires contées. Petite, elle s’invente un père explorateur en montrant une petite clé dorée qui n’était pourtant que l’objet d’un courrier reçu au domicile de ses parents pour des portes ouvertes d’une grande marque de voitures.
Sa famille a résidé quelques années dans la commune de Domvalliers, au-dessus de la mairie rue Victor Hugo. Dans ce petit village, le célèbre poète y a des origines familiales.
Est-ce une coïncidence, un signe, Laëtitia Gand se met naturellement à écrire des poèmes.
L’ombre du grand Hugo veille…
L’écriture au départ timide de Laëtitia débute dans des carnets intimes. Elle a besoin de s’exprimer sur ses sentiments, sur des pans de sa vie. Puis, son écriture s’affine, mûrit. Elle compose toujours des poèmes pour divers concours d’écriture et tend progressivement vers le genre de la nouvelle.
Elle obtiendra quelques prix.
En classe de primaire, elle pense devenir professeur des écoles mais son malaise à l’oral et sa grande timidité la font renoncer. Seulement, elle aime lire et écrire et naturellement, elle se dirige tout le long de sa scolarité dans un cursus littéraire, d’abord en montrant un intérêt pour la matière du français, une envie de rédiger de longues rédactions, un goût pour la lecture et l’apprentissage de la poésie.
Au lycée, elle continue dans la section littéraire jusqu’à l’obtention de son baccalauréat Littéraire. Elle n’est pas toujours la
meilleure élève mais elle est studieuse, tenace et malgré des difficultés dues à un trouble de l’attention et a un manque de confiance en elle, elle persiste dans cette voie.
Étudiante sur Nancy 2, elle prend la filière des métiers du livre et surtout celle des bibliothèques. Elle obtient en 2002 un DUT Information-Communication, Métiers du livre. Elle s’installe alors en Franche Comté dans le Territoire de Belfort, lieu de son dernier stage et pour des raisons également personnelles. Hélas, peu de temps après, alors que tout est possible, elle réalise qu’elle souffre d’une phobie qui l’empêche de prétendre à l’ultime formation pour être bibliothécaire. Elle a une peur panique de conduire.
Comme toujours, au lieu de se victimiser, elle commence dans la vie active en faisant divers petits boulots et garde sa plume durant son temps libre. Elle participe toujours à des concours d’écriture. C’est à ce moment qu’elle va vivre une belle expérience aussi dans le groupe Créa’vie créé au sein du Point Accueil Solidarité de Delle dans le Territoire de Belfort pour réunir des femmes ayant des difficultés pour travailler. Le groupe se réunit autour d’un atelier d’écriture animé par l’écrivain Christophe Blangero et termine en beauté par la concrétisation d’un projet en commun en proposant une grande exposition dans la médiathèque de la ville Delle.
Laëtitia et d’autres femmes vont ainsi montrer leur talent. Quelques textes de Laëtitia sont vus pour la
première fois en public durant l’évènement.
Peu de temps après, elle entend parler d’une grande Foire aux livres dans la région. C’est pour elle, la découverte de son premier lieu de dédicace au centre Atria de Belfort grâce à sa rencontre avec l’écrivain Patrick Frickert et de celle de Jean-Marie Choffat, conférencier et alpiniste. Elle comprend que sa voie sera vraiment celle de l’écriture et elle commence à montrer ses écrits au grand jour sur le réseau Facebook. C’est là qu’elle sera repérée par l’éditeur de Montreuil, Joseph Ouaknine et qu’elle sera publiée pour la première en 2011.
Bibliographie :
Publications livres :
Le roman du temps qui passe, éd. J. Ouaknine, 2011 (poésie) ;
Histoires d’eau douce et d’eau salée, éd. Mon petit éditeur, 2014 (poésie) ;
Traces de vie, (éd. Omri Ezrati, 2013 puis éd. Cana, 2016) : mention spéciale du Prix Albayane 2013 de poésie ;
Le lit qui dort, éd. Tensing, 2017 (poésie) ;
Quotidiens passagers, éditions Z4, 2017 (poésie) ;
Le fil d’avril, éditions Z4, 2018 (poésie) ;
Récits du miroir, éditions Z4, 2018 (contes, nouvelles) : finaliste du prix littéraire de la ville de Belfort 2019 ;
Entendez-vous…cette chaleur jaune ? éd. Claire de Plume 34, 2012 puis z4 éditions, 2019 (poésie)
Les vautours de papier, autoédition, 2023 (nouvelle)
Esprit en toc, autoédition, décembre 2024 (nouvelles)
Publications dans trois anthologies à Tokyo :
Haiku Column volumes 1, 2 et 3
Publications dans les revues littéraires :
Le Capital des mots, Lichen, Infusion, Vericuetos , Méninge, Cahiers de poésie de Joseph Ouaknine, Hors série revue Cabaret.
Publications personnelles de minis livres :