Les effets primaires du vaccin
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Les effets primaires du vaccin
Il est de nombreuses questions concernant les effets secondaires de la politique choisie du tout-vaccin face à une maladie qui nous laisse démunis. Il n'est pas de question possible du côté de l'effet primaire, l’effet placebo. Cet effet au naturel a été révélé par la psychanalyse comme étant le seul résultat d’une relation interpersonnelle. Il est le corollaire du transfert d'affect.
Dans toute relation thérapeutique, y compris hors profondeur psychanalytique, il est un remplacement de l'angoisse, l'affect intense qui demeure sans contenu évident et sans émotion claire, par des affects très concrets, qui peuvent être échangés.
Lors du traitement effectif par un placebo, c'est-à-dire un médicament sans principe actif, le patient échange la reconnaissance de son statut de malade et de sa souffrance contre une amélioration temporaire de ses symptômes, et ceci même si l'analyse du transfert entre le patient et le médecin n’est pas prise en compte. Puisque le scénario qui se crée a bien un sens pour l'un comme pour l'autre, nombre de soignants et d'éducateurs l'analysent en supervision professionnelle.
Les contaminations des vaccinés me font poser l'hypothèse de la fragilité de ce transfert dans le cas du vaccin contre la Covid-19.
Sans effet
Se faire vacciner en masse dans un hangar glauque vite fait crée, au mieux, un esprit de corps avec les autres vaccinés. Ceci est une forme de transfert latéral pareillement étudié dans la psychodynamique des groupes et des organisations. Ce transfert est très ténu puisqu'il se désagrège en même temps que ne le fait le corps social qui a permis son expression. Cet éclatement du support du transfert pourrait nuire à son effet primaire et être un facteur de stress qui participerait des effets secondaires.
Les expériences de PCR dans des environnements ludiques et festifs (les centres commerciaux, les boîtes de nuit) connaît un essor impressionnant. Un bond de prélèvements et des gens heureux à la sortie comme si d'un vrai pass vaccinal il pouvait s'agir.
Aussi, les personnes qui se sont rendues et qui se rendent à la vaccination en couple ou en famille semblent mieux vivre l'événement. Quoi qu'il en soit il n'est pas d'études en ce sens. Je partage ma réfléxion car la pure et simple prise de conscience en lieu et place de l'inconscience qui préside à nos vies sans la psychanalyse mal comprise, aide à vivre mieux cet épisode et tant d'autres de nos existences laissées pour compte.
Tout compte fait
Faites vous vacciner peut-être mais surtout faites vous accompagner d'amour et de véritable rédemption. Avec ou sans vaccination. Avec ou sans pass et autres codes QR ou sociaux.
L'humain est par nature résilient. Les grandes épreuves du passé ont été bien plus grandes que l'actuelle qui vire à la grippe de passage avec le temps. Nul besoin d'accélérer la vaccination. Ah l'accélération, un autre sujet psychodynamique. A venir, si vous aimez, si vous revenez.
Ceci est un ouvre-boîte. Mieux qu'une boîte à outils : une réfléxion ouverte, un miroir de beauté, une longue respiration. N'hésitez-pas à vous abonner pour d'autres partages aidants.
Prince Of Panodyssey Alias Alexandre Leforestier hace 3 años
Approche forte intéressante ! Merci Chère Eva ! Et oui l'amour et l'épanouissement de l'âme associé est un remède puissant. De mon côté, ma grand-mère de 94 ans, son meilleur remède ce sont ses petits et arrières petits enfants. Surtout, lorsque je lui prépare sa soupe et un dessert gourmand... La chimie ne lui donne ni le sourire ni l'envie de se battre. Au contraire, la chimie lui endort le cerveau et çà, j'aime pas ! Le cerveau, c'est sacré...
Eva Maria Matesanz hace 3 años
Le cerveau est notre esprit et notre âme est partout. Merci de ce partage sensible Sébastien.
Jean Louis Muller hace 3 años
Nous fûmes volontaires début mars dernier pour nous faire vacciner avec AstraZeneca , mon épouse et moi. Nous y allâmes ensemble, dans le centre municipal de santé de notre jeunesse. Ce fut une expérience très sympathique. Nous y avons rencontré beaucoup d’amis et de connaissances. Nous devrions généraliser la festivité de la vaccination.
Eva Maria Matesanz hace 3 años
Je m'en réjouis. Ensuite, sans atteinte organique, la simple relation remplace le médicament. C'est cela la puissance du transfert d'affects.