TRèS PORTRAiTS - SL
En Panodyssey, puedes leer hasta 10 publicaciones al mes sin iniciar sesión. Disfruta de 9 articles más para descubrir este mes.
Para obtener acceso ilimitado, inicia sesión o crea una cuenta haciendo clic a continuación, ¡es gratis!
Inicar sesión
TRèS PORTRAiTS - SL
(En vrac, un jeté de données sur une personnalité sans chronologie obligée, un patchwork d'évènements disparates pour révéler autrement toute la complexité- d'être et de se comporter- de ceux et celles qui nous gouvernent ; que l'on déteste ou qui nous enchantent.)
Quoiqu'ATTAL lui ait raflé la vedette en le détronant d'un poste de premier ministre qu'il n'aura pas eu, le sieur LECORNU à été à nouveau sollicité par Michel BARNIER (qu'on ne plaisante plus), enfin arrivé à son apogée via le poste de Ministre des Affaires Etrangères d'une ère Macron quasi finie et terre...minée !
Pour recycler un texte déjà préparé pour un évènement qui n'est pas-du-tout sûr venu... je vous livre ici le papier par ma plume déjà noircie à l'encre de sèche...
Aujourd'hui : Sébastien LECORNU
LECORNU en un seul mot n'est pas un gros-mot. En deux-mots il signifie "qui a des cornes", mais de sa vie sentimentale, rien n'entrera pas en ligne de compte dans cette tribune. Il aurait lui -à l'opposé d'Attal-, une vraie femme, son patronyme la testant !
Sébastien LECORNU, né en 1986 à Eaubonne, secrétaire d'Etat sous Hulot (une sacrée déférence), exclu de LR au profil de LREM pour avoir voulu marcher avec d'autres encore plus vite, vers cet irrésistible espoir d'accéder au seul poste de suprême assis que son propre fondement réclamait. Pour accéder au fauteuil, passer d'un strapontin d'élu local aux bancs du Sénat, en visant un siège -au plus prêt pour le trône- ; passage quasi obligé pour qui montera la suprême estrade qui porte aux nues, un quasi inconnu. A l'instar de la politique ; la guillotine qui elle aussi a fait légalement perdre la tête à tant d'autres, en avait aussi une...estrade !
-Gendarme de réserve avec le grade de lieutenant, il sera chef de peloton d'Alexandre Benalla (barbouze de Macron) qu'il suivra jusqu'au bout du bout, quitte à pouvoir l'aider à déménager un coffre-fort empli de dossiers... Mais depuis chute, on nous écoute ! Pour sévices rendus à l'Etat, il sera nommé colonel en 2017. Sur ces faits il demeurera dès lors dans la réserve de la République, comme un poisson dans l'eau : à gober !
-Des "Collectivités", il vire de bord en 2018 en devenant Ministre des Collectivités territoriales, tremplin en 2020 pour devenir Ministre des Outre-Mer, vois-là un homme qui aimera voyager en frayant sa voie par delà toutes eaux bonnes, celles qui auraient bien pu le déposer aux portes du spa élyséen. Mais l'heureux sort politicien lui réservera bien de mauvaises surprises : l'Elysée sera pour Barnier.
-Aujourd'hui poussé par Macron en faisant allègrement sauter Attal puis Barnier par dessus la Borne, il marquera le chemin parcouru dès Eaubonne vers des eaux chaudes pour des cloaques plus ou moins marécageux, ceux desquels on ne peut ni se détâcher de la crasse politique ni s'en laver les mains...
-Et "go". Depuis peu bombardé (certains diront parachuté) par Michel Barnier comme "Ministre désarmé", c'est par manque évident de moyens qu'en compensation son ministère subira lui seul, une augmentation de budget ; mais à l'entendre, juste quelques milliers de balles en plus et sans en faire des caisses...
- Pour ma part, pressentant ici la réaction épidermique d'un peuple de France ombrageux des effets seconds de la/les nominations erratiques de notre Seb, je vous livre tout cru en apothéose quoique choquantes, deux parfaites anagrammes prophétiques, mais ô combien subliminées par le sieur Barnier dans son programme de politique générale que son gouvernement mettra en place en 2024 ; mais qui traduiront bien le sentiment du plus grand nombre de découragés qui baisseront culotte là où le bat blesse à chaque nouvelle foi pour subir les tous derniers outrages à l'encontre d'une raie publique peinée très... Ou vise vers ça, deux expressions venant d'un Président d'une ombre (de citoyens) que représente encore Marianne !
- 1- "Enculeront baisés"
- 2- "On t'enculera. Bises" !
- Sans fondement plus profond ainsi justifié ; ainsi ordonnée dans ces formules lapidaires toute l'insolence des 16 lettres -de cachées- composant le nom de Sébastien Lecornu . CQFD
Une fois de plus, les victimes baisées d'une politique non consentie seront nos concitoyens et si on peut se faire mettre de l'assumer ; l'assimilation de LeCornu à une espèce de diable hautain ne serait vraiment pas fortuite...
La politique, "Plein le cul" !
Le nom du sieur Lecornu ne sera ici que prétexte à dérision. L'auteur regrette toutefois d'avoir eu à user de mots orduriers que les anagrammes lui auront allègrement dictés ; termes hors propos "allant contre" de personnalités politiques qui ne les méritent pas forcément...
Mais venant d'eux, dans un pays qui s'enfonce dans une merde noire, aussi qui cons qu'eux, comprendra !
-
- (être dans une merde noire = être en très mauvaise situation.)
- Ce pamphlet de Bernard Ducosson n'engage que son auteur.