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Octobre 1954, 6 h 37 du matin.
Il avait des mots sales plein la bouche. Il me balança des insultes plus violentes qu’un uppercut en pleine gueule. J’encaissai sans ciller, la main dans ma poche arrière, les doigts crispés sur mon compagnon de survie, un « 38 » qui vous fait des trous plus gros que celui d’une boutonnière. Fatigué de sa gouaille de faux gone, je lui ai craché un « Ta gueule !» si virulent qu’il a cessé de jacter. Son regard s’est durci, un petit rictus sur le côté droit de sa bouche, le clic du surin qui fait éjecter sa lame. Je n’ai pu que le regarder en lâchant un soupir de désolation. Il n’a pas eu le temps de voir le bout du canon, ni d’entendre le claquement du percuteur, que la balle l’atteignait juste au-dessous du cœur. Il resta coi, bouche ouverte, la main


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