AVANT : "Les risques de propagation du coronavirus dans la population française sont très faibles" !
-Pour avoir affirmé haut-et-fort dès l'apparition de la covid19 à Wuhan, que "les risques de propagation du coronavirus dans notre population étaient faibles" (sic) et alors qu'en tant qu'hématologue elle savait détecter les signes avant-coureurs d'une pandémie, son affirmation malhonnête dévoilait déjà les prémisses d'une totale incapacité du gouvernement à prendre la gestion du péril à bras-le-corps. Ainsi ses déclarations lénifiantes associées aux errements d'un exécutif perdu en matière de gestion et d'organisation de la riposte, n'ont fait que rajouter de la panique à la peur. Souvenons-nous des manques d'équipements de protection pour les soignants comme pour la population, d'errements sur la nécessité ou non de porter un masque, de l'incapacité de gérer les commandes de vaccins sans oublier les aiguilles, etc et etc...
APRES : "Le covid19 était un tsunami et la vague arrive devant nous" !
Près de 111 000 morts après (qui ne sont absolument pas imputables à la "mise en examen"), on ne peut que constater que l'ex-ministre n'aura été qu'un fusible, -et comme un fusible a pour raison d'être de sauter,- elle a sauté (peut-être même avec un parachute doré). Mais ne nous leurrons pas, d'autres fusibles* grilleront en cascade jusqu'à ce que le compteur général -en même temps- ne disjoncte ! *(A moins que certains fusibles ne changent de pôles)
Le conteur dans une fable est toujours celui qui aime à raconter des histoires...
A cet instant de la procédure, le dénouement de cette triste histoire devrait devenir un vrai règlement de conte et cette fois-ci il s'agira bien d'un "décompte de faits" des plus abominables du 21° siècle.
LUI qui se croyait déjà en 2022 !