

2 8 SEPTEMBRE 1944, UN PORT S'EMBRASE, UNE VILLE PLEURE... LE SEPTIÈME CIEL
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2 8 SEPTEMBRE 1944, UN PORT S'EMBRASE, UNE VILLE PLEURE... LE SEPTIÈME CIEL
Le commandant flâne sous la Girafe, Persée, cherchant le dragon qui se cache derrière la petite Ourse et une pluie dévore le ciel, éclairé par un demi-Clair de lune, parsemé de bruits d’hélices, un supplice. Malgré ce qui est devenu une habitude, l'air manque ce soir-là, une impression, un regard vers l’oiseau de fer, il plane, pas cette étrange pluie devenue incessante, les avions volent et déchirent les nuages et délivrent des plaies aux murs, à l’enceinte du port tant convoité. Brest
pleure. Nous sommes bien entre le 8 et le 9 septembre 1944, quand l’abri fait pour protéger les gens de la ville, une pensée solidaire, celle de creuser un tunnel de la porte Tourville à la place Sadi-Carnot 560 mètres nés pour protéger les ‘non-militaire’. Dans cette satanée guerre, ce sont des civils d’horizons divers pour la plupart évacués par un deal de la ville. Le 7 août 1944, les tanks des forces alliés font le siège à Milizac.
Alors, il ne reste sur place, dans cette place fort parsemée de chauve-souris, de munitions, ainsi que des gens des services administratifs, des Allemands et quelques personnes de bonnes foies qui perdus sous les bombes alliées s’abritent… de la masse de fer et de sang...
Comme il pleure de la lumière incandescente, descente de fer qui plombe la ville du Ponant, la ville brûle. Un début de réponse ?
Nuage, poussières, l’odeur de chair, l’explosion, conflagration, embrasement, le mal de crâne, et la rue morte, déserte, reste l’escalier, l’abri Sadi Carnot vient de sauter. Oups, une étincelle et plus rien, plus de fleurs...
Disparue la Bétoine de mademoiselle Rose, son lotissement de chèvrefeuille, envoyé promené le Lotier corniculé, aplati le millepertuis, et j’en passe de peur que l’odeur pestilentielle de la viande ne se recommande.
Le commandant avait eu le nez fin, il s’était évaporé comme un soupçon d’alcool dans l’azote, envolé tel un macareux qui cherche son nid. Cet homme sombre avait pris la poudre d’escampette sur le chemin des alouettes quand d’autres connurent le grand virage, pire qu’un nauf
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