Et puis ce n'est pas trois mais cinq. En passant, que cela soit dit.

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Tout le monde sait - c'est bien connu - que l'hystérie (maladie de "utérus"), cette fureur, est féminine ou propre aux femmes. C'est comme le sida, tout le monde sait que c'est une maladie de pédés (dit tout haut il y a belle lurette par l'extrême droite et savamment relayé dans un "Libé" et toutes les pseudo-gauches). Et on sait, pas tout le monde (et pas des moindres : bizarre!), que le covid est une vraie maladie dangereuse (pandémie, tiens l'peuple) et, hey hé, que les non-vaccinés (un vaccin est un vaccin) sont coupables de la propager (qu'ils tuent les vaccinés, qu'ils mettent en danger la collectivité), et que l'affaire est chinoise et certainement pas américaine.

On veut vous faire nager en pleine hystérie (sens large, restreint aussi : une régression), en pleine folie, en plein absurde, en pleine déraison, avec recours sans fin à la fausseté et la falsification, en pleine déréalisation etc.

Décryptage :

1. A moins d'être encore des Grecs et toujours pas des modernes etc., l'hystérie est aussi bien "masculine" que "féminine". Et puis ne lisez plus les Lacaniens qui font fausse route (les héritiers officiels du grand Prêtre) depuis longtemps avec leur Phallus et non pas l'utérus ; lisez les [Lacaniens] progressistes, les dissidents mêmes, et même pas, ceux qui avancent. 

2. Le sida est une maladie très grave qui touche (potentiellement) tout le monde, qui attaque le système de défense immunitaire. A moins d'être corrupteur (menteur, voleur, etc., parjure avec Fauci - qui n'a pas fait grand chose contre le sida -  avec ses financiers etc.), on ne soutiendra pas que le coronavirus est un fléau ou sinon celui seul du MENSONGE (er ce n'est pas toujours l'autre, quand on se TAIT).

Autrement dit, les non-vaccinés sont fantasmés, imaginés, implicitement représentés pour la collectivité (et par les gouvernants coupables) comme des sidéens. Voyez, lisez le rapport donné par l'association AIDES : "1 Français-e sur 4 serait gêné-e de travailler avec une personne séropositive." Les préjugés sur le VIH impactent en effet, et de façon alarmante, la société et la Vie tout court. Sans faire injure aux malades dont les traitements doivent être lourds ou fastidieux etc., les non-vaccinés sont - par les pouvoirs publics - sont socialement discriminé