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2021 - Août, Semaine 32

2021 - Août, Semaine 32

Publicado el 9, ago., 2021 Actualizado 29, ago., 2021 Curiosidades
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2021 - Août, Semaine 32

Inspiration Visuelle

Source: Bondarts

Morgane Danet

Dans mon placard, c'est une caverne de jouets ! Que de souvenirs ! Je me transformais en soldat avec mon casque et ma mitraillette. Il y avait des blessés et des morts. L'ambulance venait sur place. J'avais mon talkie-walkie pour appeler les renforts. Sinon je me plongeais dans mes yeux vidéos qui écrivaient mes histoires. Je devais être rapide et efficace. Les autres copains étaient sans pitié. Les petites voitures m'ont fait vivre des cascades mais sans aucune casse. Aujourd'hui, c'est une époque révolue mais formidable que je chéris dans mon coeur. J'étais heureux, j'étais dans mon monde.

Aurore Dulac

La mort n’aurait jamais dû être un passe-temps.
Mourir. Ressusciter. Pourtant la vie n’avait rien d’un jeu.
Pas de bonus. Ni de temps supplémentaire.
Trop l’ont oublié. A force de jouer.
Sauter dans un fossé devenait drôle, lorsqu’une seconde après nous étions à nouveau au bord du vide sur nos jambes.
La personne mêlée au personnage. Jusqu’à se prendre pour lui.
Au point d’en oublier qui nous étions. La réalité partout autour de nous.
Ne voir qu’à travers l’écran, le décor d’un jeu.
Pendant que la réalité n’offrait pas plusieurs chances. Chacun n’en avait qu’une.
Une vie passée à mourir pour mieux revenir. Est-ce une vie gâchée ? Un aperçu du futur ?

Pourtant en vrai les balles tuent. Le vide aussi.
Il y a des complots et autres trahisons.
Mais pas de pouvoir ni de magie pour se protéger du danger.

La véritable arme était-elle celle que l’on croit ? Fusils, revolver, poignard…
Les manettes qui permettaient à quiconque souhaitait manier une arme par procuration, n’étaient-elles pas le vrai danger ?
Elles étaient si faciles d’accès.
Pourquoi n’était-ce pas normal d’utiliser la violence au-delà de l’écran ?
Après tout tuer n’avait rien de dangereux. Un bonus sauverait la mise.

L’interdiction d’utiliser, de concevoir ou vendre des armes a été adoptée.
Approuvé par la population meurtrie par les débordements.
A l’ouverture du musée des armes, rares furent les individus qui vinrent faire la visite.
Les quelques curieux ne comprirent pas de suite pourquoi tant de jeux étaient exposés.

A la sortie, l’œuvre d’art conçue à partir d’objets anciens attristaient les regards.

Collés. Soudés. Les armes se fondaient les unes dans les autres.
Les armes à feu dispersées parmi les manettes et boites de jeux.

Au-dessus du cadre, les visiteurs pouvaient lire une phrase gravée dans la pierre.

Les larmes et le sang ont trop coulé.
Dans un monde où les armes n’ont plus leur place, les jeux appartiennent aussi au passé.

Character Design #1

Source: Nise Loftsteinn

Pierra

Les mondes sont en guerre et moi, c’est fini de rêver.
Libre, aérienne, dangeureuse, je suis la résistance.
Sauvage, insatiable, vengeresse, je suis une bombe à retardement.
Littéralement.
Mon corps se charge d’énergie avec le temps et je peux alors transformer les surfaces que je marche en charges explosives.
Cette nuit est une nuit singulière.
Cette nuit, nous allons reprendre possession de la Citadelle des Originels. 
Je suis Glyphe et cette nuit…
Je rentre à la maison.

SnakeCroqueur

"Je me nomme Tysia. En langue ancienne, cela signifie 'la guerrière aux marques de feu'. Ce nom me va à ravir, étant la fille de Zenos et Arynys. Mon père n'est autre que le chef de la tribu Fireydream. Notre peuple maitrise le feu dès la naissance. C'est une obligation. C'est même vital. Tous nourrissons qui tardent à développer son aptitude au feu ne verront plus le jour à leurs cinq mois. J'ai failli mourir à cause de ça. Quand ils étaient sur le point de me faire l'injection qui allait me plonger dans les abysses éternels, les flammes sont sorties par milliers, comme pour me protéger. Elles étaient si fortes et intenses, que tous ceux qui se trouvaient dans la salle sont morts carbonisés. Ils n'étaient que quatre. Mais je me souviens chaque nuit de leurs cris de douleurs sous la brûlure. De leur visage se déformant sous cette chaleur qui emportait tout. Ce nuage épais qui s'en suivit. D'abord gris, puis brun, gorgé d'une odeur de chair calcinée. Un air étouffant. Comment tous ces souvenirs peuvent-ils me hanter alors que j'avais tout juste cinq mois d'existence.

Maintenant, je suis crainte de tous. Pas à cause de mon père, mais plutôt dû à cet incident.Je ne suis pas aimée, ni idolâtrée, pourtant, je gouvernerais bientôt sur ce peuple. C'est pour cela que je dois faire mes preuves. Montrer toute la bravoure dont je suis capable. Montrer que je sais me servir de mes dons. Mon groupe d'aventuriers, qui sont aussi mes amis, allons partir demain pour explorer le monde. 

Qui sait si nous en reviendrons, personne n'ose aller plus loin que notre territoire, par peur d'y rencontrer la mort. La vie m'a donné la possibilité de le faire, et j'irais au-delà des espérances que l'on place sur mes épaules. C'est ainsi"

Farfa

Je suis le Golem.
Je suis une construction humaine.
Mélange de robotique et de magie, je n'aurai du être qu'un robot sans âme et sans personnalité. Ils n'avaient pas prévu que je m'Eveillerai, que je formerai moi-même mon esprit, mon âme, mon libre-arbitre.
Je suis le Golem et je me suis affranchie de mes créateurs. Je suis mon propre maître. Je choisis désormais mes destinations, mes combats, mes compagnons.
 Ils n'avaient pas prévu cela. Leur création leur a échappée. Ils me craignent. Ils m'ont donné une immense puissance et ils ont perdu le contrôle.
Je me suis échappé. Fini les laboratoires, les expériences, la douleur. Finie l'obéissance aveugle. Plus jamais.
Je regarde les runes sur ma peau, qui luisent d'une douce lueur dorée. Mes yeux aux pupilles rougeoyantes comme des braises effraient. J'erre seule. J'observe cette humanité qui m'a engendrée, sans la comprendre totalement. Je contemple la voute du ciel, parsemée d'étoiles.
J'aime cette terre. J'aime ce monde. Je veux le découvrir, un peu plus chaque jour.

Aurore Dulac

Ca fait mal. Elles ne se voient pas, pourtant je les sens. Les brûlures. Leur chaleur s’étend sur mes membres sans que j’arrive à l’empêcher. Déjà longtemps que je ressens ce mal. Pourtant rares sont ceux à avoir entendu que ma peau me brûlait. Parfois j’aimerais que toutes ces zones douloureuses parsemées sur l’ensemble de mon corps, brillent. Que le feu qui me fait souffrir soit visible, qu’il ressorte et soit à la vue de tous. Pas seulement pour qu’on le voit. Mais pour éclairer ceux que la souffrance épargne. Savoir ce que certains font de leur peau... La recouvrir d’encre. La percer. Pour une question d’esthétique ou des paris fous. La mienne je la griffe. J’enfonce mes ongles dans ma chair, en imaginant que le feu qui me ravage pourra en sortir. Je la malmène. Elle est mon souffre-douleur. Ce tissu fins qui me recouvre de la tête aux pieds est un boulet que j’ai toujours trainé. Fragile, trop fine, élastique. Et toutes les piqûres de rappels. Celles qui viennent pile dans les moments où j’ai cru pouvoir oublier… Les brûlures ne sont qu’une forme parmi tant d’autres. Quand ça ne brûle pas, ça pique. Quand les picotements cessent, les démangeaisons arrivent. Puis l’impression de recevoir des chocs électriques. Lorsque ce n’est pas la chaleur, c’est le froid qui me torture. Pourtant rien ne se voit. Et même les mots « j’ai mal » tombent dans le vide lorsque je les prononce. Manque juste le costume pour que je devienne une héroïne écorchée vive. Il faudrait juste que ma tenue soit dans un tissu que ma foutue peau supporte. Parfois même un vêtement fin suffit à relancer le mécanisme. Le mal crépite en moi, même s’il reste invisible pour les autres. Rien ne laisse deviner le feu camouflé sous ma peau d’apparence intacte. La douleur permet de se sentir vivant. C’est elle aussi qui fait songer à la mort. Au désir de libération.

Le feu m’anime et m’empêche de vaciller. Jamais je n’ai baissé les bras. Pourtant j’ai essayé. Il n’est pas si facile d’abandonner. Apprendre à encaisser et se défendre c’est primordial pour survivre. En parallèle à ce corps fragile, mon mental fragile comme du verre cache une résistance d’acier. Personne ne me voit partir en fumée. On ne voit que mon sourire forcé. La douleur des coups que je peux m’infliger me permettent d’oublier. Seulement quelques secondes suffisent pour que le torrent intérieur s’apaise. Mon corps me rend coup pour coup ce qu’il a reçu. Les bleus apparaissent, mais eux ne me font pas mal. Incroyable cette perte de sensibilité parfois. Des instants pour reprendre mon souffle, avant d’encaisser la suite. Ca me rend folle de ne trouver un semblant d’apaisement dans le mal que je m’inflige. Je peux crisper mon visage, serrer les dents et les poings. Hurler. Au final j’ai toujours mal. Rien ne calme la douleur. Alors quand les braises s’embrasent de nouveau, je regarde le ciel et me perds dans les nuits étoilés en attendant de les rejoindre. Je suis une guerrière qui brûle de l’intérieur. J’aime me prendre pour une héroïne pour oublier la douleur. Et le plus incroyable c’est que souvent ça marche.

Character Design #2

Source: Jirka Vinse Jonathan Väätäinen

Défi Description

Vous venez passez un moment très agréable avec vos amis, votre famille, sur un lieu de vacances. Vous allez le quitter pour rejoindre votre chez vous et devoir dire goodbye à vos compagnons de vacances.

Premier point du défi: Décrire ce lieu de vacances au moment du départ. 
Deuxième point du défi: Décrire votre état d'esprit.

Morgane Danet

Les vacances sont finies, j'étais contente d'être avec ma famille. Nous avions profité du soleil, des promenades sur le sentier des douaniers, de la plage, des soirées plus longues sur la terrasse. Retrouvé mes voisins, ils me connaissaient depuis ma naissance, ma chambre avec mes poupées au-dessus de mon armoire, mes affaires dans le placard. Mais tout à une fin. La nostalgie me gagna. Je vais devoir dire au revoir à tout le monde. Cela me peinait. J'avais même ls larmes aux yeux. Je les reverrai l'année prochaine, 

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