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La Tisserande des murmures

La Tisserande des murmures

Veröffentlicht am 18, Sept., 2024 Aktualisiert am 18, Sept., 2024 Science fiction
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La Tisserande des murmures

(ecrit à 100% par ChatGPT)

La ville bourdonnait de son rythme habituel—klaxons retentissants, sirènes lointaines, et le murmure de conversations innombrables se fondant en un seul bruit indistinct. Amelia naviguait à travers la foule sur le trottoir, ses pensées consumées par les routines monotones qui avaient fini par définir son existence. Restauratrice de textiles anciens au musée, son travail convenait à sa nature méticuleuse mais laissait en elle un désir d’autre chose.

Un soir, en cataloguant une collection d’objets donnés, elle découvrit une pièce singulière—un fragment de tapisserie antique, ses bords effilochés et ses couleurs fanées. Le design était complexe : un labyrinthe de fils entrelacés formant des motifs qui semblaient changer sous son regard. Il n’y avait aucune trace de son origine, aucune note sur le donateur. Intriguée, Amelia décida de l’examiner de plus près.

Sous la douce lueur de sa lampe de bureau, elle remarqua un symbole à peine visible tissé dans un coin—un petit sablier stylisé enlacé de lierre. Cela raviva un souvenir d’enfance, une histoire que sa grand-mère lui racontait sur une légendaire tisserande dont les créations étaient censées posséder des pouvoirs mystiques. Révoquant cela au rang des idées fantaisistes, elle mit la tapisserie de côté.

Cette nuit-là, le sommeil la fuyait. Des images de la tapisserie dansaient derrière ses paupières closes, l’appelant à revenir. Cédant à cette attraction, elle s’habilla et retourna au musée. Les rues de la ville étaient étrangement silencieuses, un contraste frappant avec leur frénésie diurne. Le gardien du musée, habitué à ses visites nocturnes, lui fit un signe complice alors qu’elle signait le registre.

De retour dans l’atelier, Amelia déploya la tapisserie sur la table. En passant ses doigts sur le tissu, une sensation de picotement parcourut son corps. L’air s’épaissit légèrement, et la pièce sembla émettre un léger bourdonnement, bien que la source en soit indiscernable. Surprise, elle recula.

« Qui est là? » appela-t-elle d’une voix à peine audible.

Seul le silence lui répondit. Chassant son malaise, elle se pencha à nouveau pour inspecter la tapisserie. Cette fois, les motifs semblaient différents—des changements subtils dans le tissage qu’elle ne pouvait tout à fait saisir. Déterminée à documenter ses observations, elle prit son carnet de croquis.

Les heures s’écoulèrent tandis qu’elle dessinait méticuleusement chaque détail. Lorsqu’elle leva enfin les yeux, l’aube se levait, la lumière filtrant à travers les stores. Épuisée mais satisfaite, elle rassembla ses affaires pour partir. Alors qu’elle éteignait les lumières, une lueur attira son attention. La tapisserie semblait émettre une faible luminescence, mais en regardant de plus près, elle redevint ordinaire.

Au cours des jours suivants, Amelia se retrouva préoccupée par la tapisserie. Elle commença à rechercher le symbole du sablier, plongeant dans les archives et les textes obscurs. Un après-midi, nichée dans un coin poussiéreux de la bibliothèque, elle tomba sur une référence dans un vieux tome sur les artisans oubliés.

« La Tisserande des Murmures », lut-elle à voix haute, « une figure mythique dont les tapisseries étaient censées relier les royaumes, connectant le passé, le présent et le futur. » L’illustration associée portait le même sablier enlacé de lierre. Un frisson parcourut son échine.

Ce soir-là, alors qu’elle réfléchissait aux implications, son téléphone vibra avec un message de son ami Leo, un historien passionné par l’ésotérisme.

« J’ai trouvé quelque chose qui pourrait t’intéresser », disait le message, suivi d’une adresse.

Sa curiosité piquée, elle accepta de le rejoindre. L’adresse la mena à une boutique d’antiquités qu’elle n’avait jamais remarquée auparavant, nichée entre une boulangerie et une librairie. La cloche au-dessus de la porte tinta doucement lorsqu’elle entra.

« Amelia, par ici », l’appela Leo depuis le fond du magasin. Il se tenait à côté d’une série de textiles accrochés au mur. « Ça te dit quelque chose? »

Ses yeux s’élargirent en reconnaissant les motifs—similaires à ceux de la tapisserie qu’elle étudiait. « Où as-tu trouvé cela? »

« La propriétaire les a hérités d’un parent. Je me suis dit que tu voudrais y jeter un œil. »

Une femme âgée émergea de derrière un rideau. Ses yeux étaient d’un vert saisissant, pétillant d’une énergie qui démentait son âge.

« Vous devez être Amelia », dit-elle chaleureusement. « J’ai entendu beaucoup de bien de votre travail. »

Surprise, Amelia répondit : « Je ne savais pas que ma réputation s’étendait au-delà du musée. »

La femme sourit énigmatiquement. « Certaines choses sont destinées à être découvertes. »

Amelia examina les textiles, notant les motifs récurrents. « Ces dessins—ils sont liés à une légende que j’étudie. »

« Ah, la Tisserande des Murmures », acquiesça la femme. « Une histoire aussi ancienne que le temps lui-même. »

« En savez-vous davantage? » demanda Amelia avec enthousiasme.

« Peut-être. Mais la connaissance se révèle souvent à ceux qui sont prêts à la recevoir. »

Amelia hésita. « Que voulez-vous dire? »

La femme désigna la tapisserie. « Ces fils contiennent plus que du simple tissu. Ils sont un conduit, un lien vers quelque chose de plus grand. »

Leo rit doucement. « Elle est toujours aussi mystérieuse. »

La femme lui lança un regard malicieux. « Patience, Leo. Maintenant, Amelia, accepteriez-vous de partager une tasse de thé? Nous avons beaucoup à discuter. »

Ils s’assirent à une petite table près de la fenêtre tandis que la femme, qui se présenta comme Seraphine, versa du thé parfumé dans de délicates tasses.

« La tapisserie que vous avez trouvée fait partie d’une collection créée par une artisane bien en avance sur son temps », commença Seraphine. « Elle tissait des pièces qui connectaient différents points de l’existence, des fils capables d’influencer la trame même de la réalité. »

Amelia écoutait attentivement, le scepticisme et la fascination se disputant en elle. « Vous suggérez que la tapisserie a... des capacités? »

« Des méthodes avancées peuvent sembler magiques à ceux qui ne les connaissent pas », répondit Seraphine avec douceur. « Dites-moi, avez-vous vécu des choses inhabituelles depuis que vous l’avez trouvée? »

Elle raconta les événements étranges—le bourdonnement dans la pièce fermée, les motifs changeants, la faible lueur. Seraphine acquiesça en connaissance de cause.

« La tapisserie réagit à vous », dit-elle. « Elle sent votre curiosité, votre ouverture aux possibilités. »

Amelia ressentit un mélange d’excitation et d’appréhension. « Que devrais-je faire? »

« Acceptez-la », encouragea Seraphine. « Laissez-la vous guider. »

Cette nuit-là, de retour au musée, Amelia se tint devant la tapisserie. Prenant une profonde inspiration, elle tendit la main et toucha le symbole du sablier. La pièce sembla onduler, et soudain, elle ne se trouvait plus dans l’atelier.

Elle se retrouva dans une vaste étendue sous un ciel étoilé. L’air était vif, empli de senteurs inconnues mais réconfortantes. Au loin, une silhouette approchait—une femme vêtue de vêtements ornés des mêmes motifs complexes.

« Bienvenue, Amelia », dit la femme, sa voix résonnant doucement. « J’attendais ce moment. »

« Qui êtes-vous? » demanda Amelia, le cœur battant.

« Je suis Elara », répondit-elle. « Gardienne des fils. »

Amelia sentit une vague de calme l’envahir. « Pourquoi suis-je ici? »

« Parce que vous avez le potentiel pour poursuivre mon œuvre », dit Elara. « Les connexions qui lient la réalité ont besoin d’attention. »

« Je ne comprends pas », dit Amelia en secouant la tête.

« Vous comprendrez, avec le temps », assura Elara. « Chaque action, chaque choix, tisse la trame de ce qui est et de ce qui pourrait être. »

Avant qu’elle ne puisse en demander davantage, la scène se dissipa doucement, et Amelia était de retour dans l’atelier. La tapisserie était devant elle, ses couleurs désormais plus vives, les motifs se mouvant subtilement comme s’ils étaient vivants.

Submergée, elle s’assit, essayant de comprendre ce qui venait de se passer. La partie rationnelle de son esprit luttait avec l’improbabilité de l’expérience, mais au fond d’elle, elle ressentait une nouvelle vocation.

Dans les jours qui suivirent, Amelia commença à expérimenter, tissant de petites pièces inspirées de la tapisserie. Elle remarqua des changements subtils—un collègue retrouvant l’inspiration après des semaines de stagnation, une amie vivant une opportunité inattendue. Les événements semblaient mineurs mais significatifs, suggérant une influence plus grande.

Un après-midi, Leo lui rendit visite au musée. « Tu sembles différente », remarqua-t-il.

« Vraiment? » répondit-elle distraitement, ses doigts manipulant habilement les fils.

« Il y a une étincelle en toi », dit-il. « Comme si tu avais découvert un secret. »

Elle sourit doucement. « Peut-être bien. »

Il jeta un coup d’œil à la tapisserie. « Tu continues d’explorer ses mystères? »

« D’une certaine manière », dit-elle. « Mais il s’agit plutôt de créer de nouveaux motifs maintenant. »

Il acquiesça pensivement. « Je voulais te remercier. L’idée que tu m’as donnée a débloqué une partie importante de mes recherches. »

Elle leva les yeux, surprise. « Je ne t’ai pas donné d’idée. »

Il inclina la tête. « Tu m’as envoyé cette référence sur les systèmes interconnectés. »

La réalisation l’envahit. Le petit tissage qu’elle avait laissé sur son bureau, orné de motifs complexes—il avait d’une manière ou d’une autre transmis des informations.

« De rien », dit-elle simplement.

Au fil du temps, Amelia embrassa son nouveau rôle. Elle continua son travail au musée, mais passait ses soirées à tisser des fils qui influençaient subtilement le monde autour d’elle. Elle restait en contact avec Seraphine, qui la guidait tout en l’encourageant à explorer par elle-même.

Une nuit, alors qu’elle rentrait chez elle, elle remarqua un homme debout seul, le regard perdu et troublé. Instinctivement, elle plongea la main dans son sac et sortit un petit charme tissé.

« Excusez-moi », dit-elle doucement. « Je pense que ceci pourrait vous être utile. »

Il la regarda, la surprise dans les yeux. « Pourquoi me le donnez-vous? »

Elle sourit. « Parfois, un petit geste peut nous rappeler que nous ne sommes pas seuls. »

Il accepta le charme avec hésitation. En le tenant, un changement subtil s’opéra en lui—la tension dans ses épaules s’atténua, une lueur de clarté apparut dans son regard. « Merci », murmura-t-il.

Elle acquiesça et poursuivit son chemin, se fondant dans le flot des passants. Derrière elle, l’homme se redressa légèrement, une résolution nouvelle visible dans sa posture.

Amelia réalisa que son voyage s’était entremêlé avec celui des autres, chaque interaction étant un ajustement subtil dans la complexe tapisserie de l’existence. Elle ne se sentait plus perdue dans la monotonie du quotidien; au contraire, elle faisait partie de quelque chose de profond, collaborant silencieusement avec des forces qu’elle commençait tout juste à comprendre.

Un matin, elle reçut un colis au musée—un livre sur des techniques de tissage avancées, rempli de motifs et de symboles à la fois anciens et futuristes. À l’intérieur, une note : « Pour la Tisserande des Nouveaux Chemins. Continue d’explorer.—S. »

Amelia sourit, glissant le livre sous son bras. Alors qu’elle se déplaçait dans les halls familiers, elle ressentit une profonde connexion avec tout ce qui l’entourait—les artefacts, les personnes, l’essence même du monde. La tapisserie qui était autrefois une énigme était désormais une passerelle vers d’infinies possibilités.

Elle sortit dans la ville animée, la cacophonie des sons formant désormais une symphonie harmonieuse. Chaque visage qu’elle croisait portait des histoires inexprimées, chaque moment était un point de bascule potentiel. Le monde regorgeait de motifs attendant d’être compris, de fils attendant d’être tissés.

Amelia prit une profonde inspiration, sentant le pouls de la vie autour d’elle. Avec un sens renouvelé du but, elle s’avança, prête à embrasser le dessein complexe de ce qui l’attendait.

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Gwenaël Laurent vor einem Tag

Je précise que les images ont été générées avec Microsoft Designer.

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Gwenaël Laurent vor einem Tag

Cette nouvelle parlant d'une alliance entre une femme et une technologie avancée, dotée de sa propre intelligence, a été entièrement conçue par Chat GPT, version o1 (prévisualisation).

L'IA a été dirigée avec des consignes précises, ainsi que des extraits de textes (des sources) issus de la littérature classique en lien avec l'idée de créer une "Rencontre inattendue" (Tourgueniev, Dostoïevski, Tolstoï, Dickens, Poe, Maupassant, G. H. Wells).

Les défauts du texte ont été identifiés, puis corrigés itérativement à l'aide de prompts dans Chat GPT. Parfois, l'IA produisait sa propre auto-analyse. Parfois, la supervision était humaine.

Pour coller avec les sources (qui étaient en anglais), le travail a été fait dans la langue de Shakespeare, puis ChatGPT a traduit vers le français. Je me suis permis de corriger une faute de traduction manuellement (le verbe "dismisser" n'existant pas en français...). Tout est l'oeuvre de la machine.

Après traduction, j'ai demandé à ChatGPT de trouver un nouveau titre car le titre original ("Thread of Time") était ambigu en français ("Les Fils du Temps"...).

(modifié)

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