Nouvelle Histoire Chapitre 1
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Nouvelle Histoire Chapitre 1
|Images faites sur canva.|
Lui :
La tête par la fenêtre, je regarde la pluie tomber, les nuages sombres et les gens courir.
"Oh Marie!" En fond, mon esprit s'envole loin de la mélancolie de cette journée. Son visage occupe mes pensées, tout ce que l'on à vécu repasse en boucle, ça ne cesse de me hanter. "Oublie." Je ne peux pas. C'est ça qu'elle n'a pas compris, je ne peux oublier notre histoire, je ne peux pas oublier ce qu'elle m'a dit. Je ne peux pas oublier. D'un coup, je suis tiré de mes pensées par la sonnerie de la porte d'entrée. Je n'ai pas eu la présence d'esprit de regarder qui sonnait, je suis directement allé à la porte.
- Bonjour, j'ai un colis pour vous. Veuillez signé ici.
Je signe le reçu et ferme la porte, intrigué par ce colis totalement imprévu.
Arrivé dans mon salon, je m'attaque à l'ouverture du colis, quand une pensée idiote me fais sourire.
"Et si c'était une bombe, je devrais appeler les démineurs. D'un autre coté, qui voudrait me faire exploser?"
Bon Ken' arrête de dire des bêtises. Le colis ouvert je tombe sur un bouquin.
"Qui est tu Alaska?" De John Green, pourquoi? Pourquoi m'as-t-on envoyé ce livre?
C'est un livre que j'ai déjà lu, que j'ai déjà d'ailleurs. La seule personne à qui j'en ai parler c'est elle. Celle qui occupe mon esprit jour & nuit.
Je prend le post-it posé sur la couverture.
"Ouvre-le, et relis-le."
Tant de questions m'occupe. Pourquoi ? Dans quel but? Ce livre m'a bouleversé, pourquoi cherche-t- elle ça? La seule solution que je trouve pour avoir des réponses, c'est de lui demander. J'attrape mon téléphone et compose son numéro.
*Bip...Bip...Bip...Bip....*
|Vous êtes bien sur le répondeur d'Erica, laissez un message après le bip.|
Bon d'accord! Ne sachant pas trop comment présenté les choses, je ne laisse pas de message. Je prend la décision de l'écouter, et de relire ce bouquin. Peut-être qu'à la fin, j'aurais des réponses. Qui sait ? Elle. Bien évidemment. Elle aime jouer.
C'est parti. Lecture …
Elle:
On est tellement bien là ! Je pourrais rester a cet endroit toutes la journée, tout ma vie même. Malheureusement, l'obligation de me lever de mon canapé est là. L'obligation de sortir de ma couverture chaude et embaumé de son odeur est bien présente, je me lève donc. Me traîne, jusqu'à la cuisine, me préparé un thé. Vous allez me dire, ce n'est pas une obligation très obligeante. Mais vous ne comprenez pas le thé est important pour mon organisme.
Mon thé chaud, mon corps est littéralement ramené tel un aimant vers le canapé. Je me lance a regarder une série, je débute un abandon de vie social et de productivité en ce jour. Allongé, mes yeux se ferment petit à petit. Et plonge dans le sommeil. Quelque minutes après m'être endormie, je suis tiré de ce bien être par la sonnerie de mon téléphone.
| Vous avez un appel manqué |
J'ai raté un appel de Kentin, il à du recevoir ma surprise. On va enfin pouvoir commencer a jouer. Je ne peux me résoudre que notre histoire ce termine comme ça. Je ne peux pas me résoudre au fait qu'il m'oublie aussi facilement. Son auteur préféré "John Green" je vais me servir de ça pour revenir vers lui.
Vous allez me dire : "Mais envois lui un message." Non parce qu'entre nous ça ne marche pas comme ça. Notre histoire ne marche pas ainsi. Je ne peux pas le faire aussi simplement. Je vais préparés le prochain colis.
Lui:
La tête plongé dans mon livre, je suis coupé par la sonnerie de la porte d'entrée. Je me lève est accourt à la porte, pour ouvrir.
-Bonjour! J'ai un coli pour vous. Veuillez signez ici. dit le postiez en désignant son petit appareil tactile.
Je signe le reçu, prend le coli dans les bras.
- Au revoir Monsieur.
-Au revoir.
Je referme la porte, regarde l'écriture. Cette écriture arrondis, plus grosse que la moyenne. Je pourrais la reconnaître entre mille. Erica. Qu'est que ça peux bien être? Je me précipite pour ouvrir le coli, une lettre surplombe le contenu de la boite.
"Ken' va dans notre parc et trouve le foulard bleu, accroché à un arbre. Cela te servira pour accomplir la prochaine étape."
Après avoir lu cette lettre, je m'apprête à mettre mes chaussures, quand le téléphone sonne dans le carton.
-Euuh... Allô ?
- Bonjour Ken'! Tu as fini le livre? Si oui, soit patient le prochain arrive bientôt. Bonne recherche et bonne lecture. Bisous.
Elle avait raccrocher, ne me laissant aucune chance d'avoir des réponses. Je pris donc la décision de mettre mon manteau, et d'aller jusqu'au parc. À 10 mins de trajet de chez moi. Je prend le livre, passe par une boulangerie pour prendre à manger et passer l'après midi au parc.
Arrivé au parc.
Je me met à la recherche du foulard. Elle est marrante des arbres dans ce parc il y en a pas mal. pensais-je. Je passais à coté de tout les arbres du parc, les passants me regardait d'un air plutôt bizarre. Au bout de dix minutes de recherche, je trouve enfin ce foulard! Je détache le foulard, et trouve à l'intérieur un bout de papier.
"Ca ne fait que commencer mon Ken'."
Ce mot me fit sourire comme jamais j'avais sourit. Le fait qu'elle m'appelle "mon Ken' " me fit plaisir.
Finalement, je m'assois sur un banc pour bouquiner.
Elle :
Je suis retournée à l'endroit où j'avais laissée mon foulard, il l'avait trouver. Il n'a pas perdu ses talents d'enquêteur, continuons de jouer. Arrivée chez moi, je me lance dans la confection de la nouvelle étape, à cette heure, il à du finir le livre. Alors je place dans le colis, le livre "Un Appartement a Paris" de Guillaume Musso, digne de lui et de sa nature enquêtrice. En l'emballant dans un ancien haut, acheté dans un festival par Kentin, il l'as oublié chez moi alors j'en profite. Je lui laisse aussi, un texte écrit a 02h du matin, la veille de notre séparation. Le colis terminé je le ferme, j'écris un sms à Kentin.
Pourquoi ce livre ? Me demanderez vous. Car ce livre est bouleversant, c'est un mélange d'amour, d'enquête puis tu ne peux t'empêcher d'avoir de la compassion. Je l'ai lu et j'ai très souvent pensé à lui, je lui l'envois en espérant que lui aussi il pensera à moi. L'emballage terminer, je ferme une petite lettre et scelle le colis. Je l'envoi aussitôt à son adresse, puis retourne surfer sur les réseaux sociaux en l'attente d'un indice de sa part. Sur son profil je vois la photo du foulard, il l'a poser sur son lit avec à côté le premier livre. Mon esprit divague sur le soir de notre séparation, comment on à pu en arriver là ?
Comment on à pu prononcer les mots "On arrête là."
Mon coeur n'en peux plus, il étouffe, il à besoin de son oxygène. Il est un pilier dans ma vie, notre existence à toujours été bordé par les jeux. On à toujours jouer ensemble à se défier, se faire des enquêtes. Et si il est toujours en train d'enquêter pour nous alors c'est qu'il ne nous à pas oubliés. Les larmes coulent encore, mes yeux sont rouges gonflés à force de couler. Pourquoi je m'accroche? Peut être est il en train de dîner avec une femme, peut être nous a -t- il réellement oubliés? La crise d'angoisse pointe son nez, j'ai peur, peur de le perdre à cause de mes mots. A cause de ce que j'ai fait, de ce que j'ai à dit. Je m'en veux, je m'en veux terriblement. Actuellement, en suffocation sur mon canapé, je tente de se calmer. Mais, les idées noirs envahissent mes pensées. Heureusement il est là, petite boule de poils à quatre pattes.
On s'endors.
Lui :
Je reçois un textos : " Le colis arrive."
Je ne m'attendais pas un sms de sa part, depuis que nous nous sommes séparés je n'ai eu aucune nouvelles a part ses colis défis. Cette nuit est encore un énième fois blanche, se souvenirs me hante. Je ne veux pas, je ne peux pas me passer d'elle. Assit devant mon ordinateur je me met à jouer ce qui me mènera jusqu'au bout de la nuit. Le soleil éblouis mon vieux corps endormis sur le clavier, mes cernes son marqué, mes yeux son rouges et mes cheveux brun son en bataille. Je me lève de ma chaise de bureau pour me diriger sous la douche. Sous l'eau mes larmes coulent, mon corps tremble de tristesse, je ne peux pas faire ma vie sans elle. Elle est mon pilier et ma raison d'être. Au bout d'une heure sous l'eau je sors de la salle de bain, la sonnette de la porte d'entrée se fait entendre. Je vais ouvrir et tombe sur le facteur.
"Bonjour, j'ai un colis"
Je lui prend le colis signe le reçu et ferme la porte. Le colis sent l'odeur de ma bien aimée, assis devant mon bureau j'ouvre cette fameuse boîte. Et un sourire nostalgique s'affiche sur mon visage, je revois tous nos moments passés a ce festival ; là ou j'avais acheté ce t-shirt affreux. Faut bien le dire. A l'intérieur il y a un livre que je souhaitais lire "Un appartement a Paris" de Guillaume Musso. Une lettre accompagne ce livre, je la lis immédiatement.
"Kentin, pourquoi j'ai décidé de te laisser? J'ai décidé de te laisser pour ne pas m'ennuyer dans ma vie, pour éviter la routine.
J'en suis désolé ..."
Leslarmes coulent sur la lettre, me dire qu'elle m'a quitté pour éviter la routine me fait mal, et me brise le coeur. Je sent sur le haut l'odeur de ma femme, cette odeur qui m'a bercé pendant de long moments. La journée vient de commencer et mon estomac me le fait bien comprendre. Je sors de chez moi pour aller faire quelque courses histoire de ne pas mourir de faim. Mais si cela ne me dérangerais pas, faut pas se leurrer mourir de faim est une mort lente et horrible. Ceci fait, je rentre chez moi et m'assois sur mon canapé pour commencer le livre. Je lis le livre sans pouvoir quitter des yeux les mots jeté sur le papier, tels des billes destiné à s'entrechoquer. L'impression de voyager avec les personnages dans la belle ville de Paris, au bout de deux heures la réalité me revient en pleine face.
|Vous avez un nouveau message|
"Hé Ken' tu viens boire une verre. On va t'aider à oublier ton ex, on va te présenter Karmen. Elle est hyper sympas"