

Lucrèce de Véronèse
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Lucrèce de Véronèse
Elle est mon funambule suicidaire,
Un ectoplasme qui habite ce crâne,
Une marrée haute de goûts amers.
Elle est l’automne soufflant mes roses qui fanent.
Moi, je bois son plaisir éphémère,
Et brise mon plus noble organe.
Elle me vitrifie une fois de plus de son prochain hiver,
Lucrèce m’offre, nu, à l’ivresse du désespoir.

